Idée reçue N°3 : Si je décède, ma famille touchera des aides de l’Etat. 

Pour les indépendants, le montant du capital versé en cas de décès n’est que de 20 % du plafond de la Sécurité sociale, soit 8 798,40 € en 2023. Une somme qui peut constituer un soutien pour faire face dans un premier temps, mais qui ne permettra pas de subvenir aux besoins financiers de votre famille.

Bonne nouvelle : en plus de la couverture de vos revenus, un contrat de prévoyance entrepreneur inclut le versement d’un capital beaucoup plus important. 

Par exemple, avec Ma Protection Entrepreneur, ce capital peut aller jusqu’à 50.000 €.

A NOTER : que si vous exercez une activité libérale, vos garanties prévues en cas de décès diffèrent selon votre caisse d’affiliation. Certains régimes proposent un seul capital décès en fonction de votre chiffre d’affaires sur les dernières années, d'autres prévoient en plus une rente de conjoint et des rentes d'éducation (rente orphelin). Certes, vos cotisations sociales vous assurent une protection sociale, mais celle-ci est souvent minimale, d’où la nécessité d’envisager la souscription d’une prévoyance entrepreneur.

Idée reçue N°5 : La protection sociale pour créateur d’entreprise, c’est compliqué.

Avec un contrat tout-en-un comme Ma Protection Entrepreneur, vous bénéficiez d'une protection sociale complète. La protection sociale des créateurs d’entreprise (ex : auto-entrepreneurs) offerte par la régime général est souvent insuffisante, c’est pourquoi une solution complémentaire de protection sociale des travailleurs indépendants est idéale pour se protéger des aléas de la vie. Un contrat combiné comme Ma Protection Entrepreneur permet d’optimiser sa protection sociale tant en matière de santé que de prévoyance.

Avec cette solution vous n’avez qu’une seule adhésion à réaliser avec des formalités médicales allégées. Tout peut se faire à distance ou en ligne. Ce qui ne vous empêche pas de bénéficier de conseils d’experts en protection sociale du travailleur indépendant, qui connaissent parfaitement les enjeux de votre situation d’entrepreneur et vous faciliteront grandement la tâche ou vous permettront de ne pas rester bloqué en cas de difficulté.

Idée reçue N°3 : Si je décède, ma famille touchera des aides de l’Etat. 

Pour les indépendants, le montant du capital versé en cas de décès n’est que de 20 % du plafond de la Sécurité sociale, soit 8 798,40 € en 2023. Une somme qui peut constituer un soutien pour faire face dans un premier temps, mais qui ne permettra pas de subvenir aux besoins financiers de votre famille.

Bonne nouvelle : en plus de la couverture de vos revenus, un contrat de prévoyance entrepreneur inclut le versement d’un capital beaucoup plus important. 

Par exemple, avec Ma Protection Entrepreneur, ce capital peut aller jusqu’à 50.000 €.

A NOTER : que si vous exercez une activité libérale, vos garanties prévues en cas de décès diffèrent selon votre caisse d’affiliation. Certains régimes proposent un seul capital décès en fonction de votre chiffre d’affaires sur les dernières années, d'autres prévoient en plus une rente de conjoint et des rentes d'éducation (rente orphelin). Certes, vos cotisations sociales vous assurent une protection sociale, mais celle-ci est souvent minimale, d’où la nécessité d’envisager la souscription d’une prévoyance entrepreneur.

Idée reçue N°5 : La protection sociale pour créateur d’entreprise, c’est compliqué.

Avec un contrat tout-en-un comme Ma Protection Entrepreneur, vous bénéficiez d'une protection sociale complète. La protection sociale des créateurs d’entreprise (ex : auto-entrepreneurs) offerte par la régime général est souvent insuffisante, c’est pourquoi une solution complémentaire de protection sociale des travailleurs indépendants est idéale pour se protéger des aléas de la vie. Un contrat combiné comme Ma Protection Entrepreneur permet d’optimiser sa protection sociale tant en matière de santé que de prévoyance.

Avec cette solution vous n’avez qu’une seule adhésion à réaliser avec des formalités médicales allégées. Tout peut se faire à distance ou en ligne. Ce qui ne vous empêche pas de bénéficier de conseils d’experts en protection sociale du travailleur indépendant, qui connaissent parfaitement les enjeux de votre situation d’entrepreneur et vous faciliteront grandement la tâche ou vous permettront de ne pas rester bloqué en cas de difficulté.

La qualité de vie au travail dépasse le simple bien-être des salariés : elle constitue un moteur de transformation pour les entreprises. Focus sur les impacts positifs pour les salariés et pour l’organisation dans son ensemble.

Pour les salariés : leur bien-être au cœur des priorités

Améliorer la qualité de vie au travail, c’est avant tout agir sur ce que vivent les salariés au quotidien. Un environnement plus sain, une écoute renforcée, un meilleur équilibre entre vie professionnelle et personnelle… autant de facteurs qui contribuent à :

• Réduire le stress ;
• Prévenir les risques psychosociaux ;
• Renforcer le sentiment de reconnaissance. 

Lorsque les salariés se sentent bien dans leur cadre de travail, ils sont plus confiants, plus impliqués et trouvent davantage de sens à leurs missions.

Ce mieux-être favorise naturellement leur engagement et leur envie de contribuer à la réussite collective. La qualité de vie au travail ne transforme pas seulement les conditions de travail : elle donne aux salariés les moyens de s’épanouir pleinement et durablement dans leur rôle.

Pour l’entreprise : une performance accrue et durable

La QVCT ne profite pas seulement aux salariés : elle est un véritable atout stratégique pour les entreprises. En réduisant l’absentéisme, elle améliore significativement la productivité globale et limite les coûts liés aux arrêts de travail. Par ailleurs, une attention portée aux relations sociales et à la charge de travail renforce l’esprit d’équipe et favorise une meilleure collaboration interne.

En se positionnant comme un employeur soucieux de la prévention des risques et de la santé au travail, une entreprise améliore également son attractivité et fidélise ses talents, consolidant ainsi sa marque employeur. Avec la QVCT, chaque action entreprise a un impact direct sur le climat organisationnel et les résultats économiques.
 

Mettre en œuvre une démarche de qualité de vie au travail nécessite une approche structurée et collective. En impliquant vos équipes et en utilisant des outils adaptés, vous pouvez transformer vos initiatives en leviers de performance sociale et économique. Grâce à un réseau d’experts engagés et à des solutions adaptées à la réalité de votre entreprise, Harmonie Mutuelle vous aide à bâtir une démarche QVCT sur mesure, durable et fédératrice.

1. Diagnostiquer les besoins des salariés

La première étape consiste à réaliser un état des lieux de l’organisation du travail. Cela implique de recueillir les attentes des salariés à travers des outils de mesure tels que des enquêtes ou des baromètres QVCT. Identifier les priorités, comme les conditions de travail ou l’équilibre entre vie professionnelle et personnelle, permettra de bâtir des actions pertinentes.

2. Élaborer un plan d’action concret

Une fois les besoins identifiés, il est crucial de définir un plan d’action. Ce plan doit inclure des mesures ciblées, comme l’amélioration des espaces de travail, la réduction des risques psychosociaux ou la mise en place d’actions de prévention. Priorisez des initiatives mesurables et adaptées à vos objectifs.

3. Communiquer et engager les salariés

Une démarche QVCT ne peut réussir sans la participation active des équipes. Assurez une communication claire et transparente pour expliquer les objectifs et impliquer chaque salarié. Le dialogue social et la co-construction renforcent l’engagement des salariés.

4. Mesurer et ajuster en continu

Pour garantir l’efficacité de vos actions, mettez en place des outils d’évaluation. Analysez régulièrement l’impact de vos initiatives sur les relations sociales, la santé au travail et la performance organisationnelle, et ajustez votre plan en conséquence.

Pour aller plus loin et construire une démarche QVCT alignée avec vos enjeux, les équipes d’Harmonie Mutuelle sont à votre écoute pour vous accompagner avec des solutions concrètes, humaines et adaptées à votre entreprise.

 

Les bénéfices pour l’entreprise

Investir dans le bien-être au travail est une stratégie gagnante pour les entreprises. Les salariés épanouis sont non seulement plus productifs, mais aussi plus engagés dans leurs missions. Cela se traduit par :

• Une réduction de l’absentéisme grâce à des salariés en meilleure santé physique et mentale ;
• Une diminution du turnover, limitant les coûts liés au recrutement et à la formation ;
• Une amélioration de l’image employeur, rendant l’entreprise attractive pour les talents ;
• Une meilleure cohésion d’équipe, renforçant la motivation collective et les performances.

Des initiatives comme la prévention des risques psychosociaux, l’aménagement des conditions de travail, ou encore des programmes favorisant la qualité de vie contribuent également à bâtir un environnement professionnel durable et équilibré.

Les conséquences du mal-être

À l’inverse, ignorer le bien-être des salariés peut engendrer des effets néfastes :

• Une augmentation des troubles liés au stress, comme l’anxiété ou le burn-out ;
• Des tensions au sein des équipes, nuisant à la cohésion et à l’esprit d’équipe ;
• Un climat de travail toxique, freinant l’innovation et dégradant l’efficacité ;
• Une détérioration de la marque employeur, compliquant le recrutement et la fidélisation.

Ces impacts affectent directement la performance collective, fragilisant à la fois la productivité et l’image de l’entreprise.

1/ Évaluer les besoins

Commencez par analyser les attentes des salariés grâce à des enquêtes internes ou des outils de feedback anonymes. Ces données, complétées par des indicateurs RH comme le taux d’absentéisme ou les résultats des entretiens annuels, permettent d’identifier les axes prioritaires : 

• Prévention des risques psychosociaux ;
• Amélioration des conditions de travail
• Équilibre vie professionnelle/personnelle.

2/ Co-construire un plan d’action

Impliquez les salariés dans la définition des initiatives pour garantir leur adhésion. Organisez des ateliers participatifs pour concevoir des solutions adaptées. Définissez des objectifs mesurables, tels que la réduction des arrêts maladie et des absences pour cause de stress ou l’amélioration du climat d’équipe. Un plan co-construit reflète la culture d’entreprise et renforce l’engagement.

3/ Assurer le suivi et l’adaptation

Utilisez des indicateurs de réussite pour évaluer l’efficacité des actions déployées. Soyez flexible : ajustez les initiatives en fonction des retours et des résultats. Une démarche évolutive garantit un impact durable sur le bien-être des salariés.

En misant sur l’écoute, la collaboration et l’ajustement, un programme de bien-être devient un levier puissant pour la performance collective.