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5 idées reçues sur votre protection sociale

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La création d'entreprise est à la fois une grande aventure et un parcours du combattant. Démarches administratives, lancement de l’activité, développement commercial… Les défis à relever sont nombreux et la question de votre protection sociale n’est peut-être pas votre priorité. Pour votre sécurité et celle de vos proches, comme pour votre sérénité, le sujet ne doit pourtant pas être négligé ! Harmonie Mutuelle vous aide à dépasser les idées reçues pour y voir plus clair.

Idée reçue N°1 : Je suis déjà couvert par l’Assurance Maladie pour mes frais de santé. 


Soyez vigilant. Si vous dépendez de la Sécurité Sociale des Indépendants, votre régime de base ne prend en charge qu’une partie de vos frais de santé. C’est pourquoi l’adhésion à une mutuelle entrepreneur complémentaire est indispensable pour améliorer la prise en charge des travailleurs non salariés.


Quel type d'entrepreneur êtes-vous ? Faites le quiz

  • Idée reçue N°2 : En cas d’arrêt maladie, je percevrai des indemnités journalières.


    En cas d’arrêt de travail de plus de 7 jours (à la suite d’une chute ou d’un accident par exemple) si vous êtes indépendant (artisan, commerçant, auto-entrepreneur, freelance ou professionnel libéral), vous percevrez des indemnités en fonction de vos revenus sur les 3 dernières années travaillées et elles seront plafonnées.

    Même si la moyenne de vos 3 derniers revenus est supérieure à 43 992 € bruts, votre indemnité journalière ne pourra pas excéder le montant maximum de 60,26 € bruts (fixé au 1er janvier 2023). Mais pour percevoir ces indemnités journalières en cas d’arrêt de travail, vous devez être affilié au régime général de la Sécurité Sociale des travailleurs Indépendants depuis au moins 1 an.


    Pour éviter de vous retrouver dans une situation financière risquée pour votre foyer et votre entreprise, vous pouvez souscrire un contrat de prévoyance entrepreneur. Celle-ci vous permettra de compenser vos pertes de revenu en cas d'arrêt de travail ou invalidité. 

  • Idée reçue N°3 : Si je décède, ma famille touchera des aides de l’Etat. 

     

    Pour les indépendants, le montant du capital versé en cas de décès n’est que de 20 % du plafond de la Sécurité socialesoit 8 798,40 € en 2023. Une somme qui peut constituer un soutien pour faire face dans un premier temps, mais qui ne permettra pas de subvenir aux besoins financiers de votre famille.

    Bonne nouvelle : en plus de la couverture de vos revenus, un contrat de prévoyance entrepreneur inclut le versement d’un capital beaucoup plus important

    Par exemple, avec Ma Protection Entrepreneur, ce capital peut aller jusqu’à 50.000 €.

     

    A NOTER : que si vous exercez une activité libérale, vos garanties prévues en cas de décès diffèrent selon votre caisse d’affiliation. Certains régimes proposent un seul capital décès en fonction de votre chiffre d’affaires sur les dernières années, d'autres prévoient en plus une rente de conjoint et des rentes d'éducation (rente orphelin). Certes, vos cotisations sociales vous assurent une protection sociale, mais celle-ci est souvent minimale, d’où la nécessité d’envisager la souscription d’une prévoyance entrepreneur.

  • Idée reçue N°4 : La protection sociale pour créateur d’entreprise, c’est cher.


    Il est courant d'entendre dire que la couverture sociale chez les entrepreneurs est chère. Cependant, il convient de rectifier cette idée reçue, car les régimes complémentaires de protection sociale pour les travailleurs indépendants tels que les auto-entrepreneurs et les micro-entrepreneurs s'adaptent à leurs revenus et à leurs besoins spécifiques.

    Ces régimes de protection leur offrent une couverture sociale incluant la maladie, la maternité, l'invalidité et la retraite. Ils permettent de bénéficier de remboursements de frais de santé, d'indemnités journalières en cas d'arrêts de travail, ainsi que d'une protection financière en cas d'incapacité ou de décès.
     

    Si vous êtes gérant majoritaire, commerçant, artisan ou encore conjoint collaborateur (hors micro-entrepreneur), et que vous bénéficiez d'une protection sociale TNS, vous pouvez déduire une partie de vos cotisations de mutuelle santé entrepreneur et de prévoyance entrepreneur de votre bénéfice imposable.

    Certaines solutions peuvent également vous permettre de bénéficier de tarifs plus avantageux. C’est le cas par exemple de Ma Protection Entrepreneur, qui vous propose de souscrire une complémentaire santé et une couverture prévoyance en un seul contrat.

  • Idée reçue N°5 : La protection sociale pour créateur d’entreprise, c’est compliqué.


    Avec un contrat tout-en-un comme Ma Protection Entrepreneur, vous bénéficiez d'une protection sociale complète. La protection sociale des créateurs d’entreprise (ex : auto-entrepreneurs) offerte par la régime général est souvent insuffisante, c’est pourquoi une solution complémentaire de protection sociale des travailleurs indépendants est idéale pour se protéger des aléas de la vie. Un contrat combiné comme Ma Protection Entrepreneur permet d’optimiser sa protection sociale tant en matière de santé que de prévoyance.


    Avec cette solution vous n’avez qu’une seule adhésion à réaliser avec des formalités médicales allégées. Tout peut se faire à distance ou en ligne. Ce qui ne vous empêche pas de bénéficier de conseils d’experts en protection sociale du travailleur indépendant, qui connaissent parfaitement les enjeux de votre situation d’entrepreneur et vous faciliteront grandement la tâche ou vous permettront de ne pas rester bloqué en cas de difficulté.

Ma Protection Entrepreneur :
le seul contrat qui vous protège à la fois en santé et en prévoyance

  • Harmonie Mutuelle vous propose une solution tout-en-un pour protéger vos frais de santé ainsi que ceux de vos proches et vous garantir un maintien de revenu en cas d’arrêt de travail.

     

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Créateur d’entreprise : 5 idées reçues sur votre protection sociale

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La création d'entreprise est à la fois une grande aventure et un parcours du combattant. Démarches administratives, lancement de l’activité, développement commercial… Les défis à relever sont nombreux et la question de votre protection sociale n’est peut-être pas votre priorité. Pour votre sécurité et celle de vos proches, comme pour votre sérénité, le sujet ne doit pourtant pas être négligé ! Harmonie Mutuelle vous aide à dépasser les idées reçues pour y voir plus clair.

Idée reçue N°1 : Je suis déjà couvert par l’Assurance Maladie pour mes frais de santé. 


Soyez vigilant. Si vous dépendez de la Sécurité Sociale des Indépendants, votre régime de base ne prend en charge qu’une partie de vos frais de santé. C’est pourquoi l’adhésion à une mutuelle entrepreneur complémentaire est indispensable pour améliorer la prise en charge des travailleurs non salariés.


Quel type d'entrepreneur êtes-vous ? Faites le quiz

  • Idée reçue N°2 : En cas d’arrêt maladie, je percevrai des indemnités journalières.


    En cas d’arrêt de travail de plus de 7 jours (à la suite d’une chute ou d’un accident par exemple) si vous êtes indépendant (artisan, commerçant, auto-entrepreneur, freelance ou professionnel libéral), vous percevrez des indemnités en fonction de vos revenus sur les 3 dernières années travaillées et elles seront plafonnées.

    Même si la moyenne de vos 3 derniers revenus est supérieure à 43 992 € bruts, votre indemnité journalière ne pourra pas excéder le montant maximum de 60,26 € bruts (fixé au 1er janvier 2023). Mais pour percevoir ces indemnités journalières en cas d’arrêt de travail, vous devez être affilié au régime général de la Sécurité Sociale des travailleurs Indépendants depuis au moins 1 an.


    Pour éviter de vous retrouver dans une situation financière risquée pour votre foyer et votre entreprise, vous pouvez souscrire un contrat de prévoyance entrepreneur. Celle-ci vous permettra de compenser vos pertes de revenu en cas d'arrêt de travail ou invalidité. 

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    Pour les indépendants, le montant du capital versé en cas de décès n’est que de 20 % du plafond de la Sécurité socialesoit 8 798,40 € en 2023. Une somme qui peut constituer un soutien pour faire face dans un premier temps, mais qui ne permettra pas de subvenir aux besoins financiers de votre famille.

    Bonne nouvelle : en plus de la couverture de vos revenus, un contrat de prévoyance entrepreneur inclut le versement d’un capital beaucoup plus important

    Par exemple, avec Ma Protection Entrepreneur, ce capital peut aller jusqu’à 50.000 €.

     

    A NOTER : que si vous exercez une activité libérale, vos garanties prévues en cas de décès diffèrent selon votre caisse d’affiliation. Certains régimes proposent un seul capital décès en fonction de votre chiffre d’affaires sur les dernières années, d'autres prévoient en plus une rente de conjoint et des rentes d'éducation (rente orphelin). Certes, vos cotisations sociales vous assurent une protection sociale, mais celle-ci est souvent minimale, d’où la nécessité d’envisager la souscription d’une prévoyance entrepreneur.

  • Idée reçue N°4 : La protection sociale pour créateur d’entreprise, c’est cher.


    Il est courant d'entendre dire que la couverture sociale chez les entrepreneurs est chère. Cependant, il convient de rectifier cette idée reçue, car les régimes complémentaires de protection sociale pour les travailleurs indépendants tels que les auto-entrepreneurs et les micro-entrepreneurs s'adaptent à leurs revenus et à leurs besoins spécifiques.

    Ces régimes de protection leur offrent une couverture sociale incluant la maladie, la maternité, l'invalidité et la retraite. Ils permettent de bénéficier de remboursements de frais de santé, d'indemnités journalières en cas d'arrêts de travail, ainsi que d'une protection financière en cas d'incapacité ou de décès.
     

    Si vous êtes gérant majoritaire, commerçant, artisan ou encore conjoint collaborateur (hors micro-entrepreneur), et que vous bénéficiez d'une protection sociale TNS, vous pouvez déduire une partie de vos cotisations de mutuelle santé entrepreneur et de prévoyance entrepreneur de votre bénéfice imposable.

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  • Idée reçue N°5 : La protection sociale pour créateur d’entreprise, c’est compliqué.


    Avec un contrat tout-en-un comme Ma Protection Entrepreneur, vous bénéficiez d'une protection sociale complète. La protection sociale des créateurs d’entreprise (ex : auto-entrepreneurs) offerte par la régime général est souvent insuffisante, c’est pourquoi une solution complémentaire de protection sociale des travailleurs indépendants est idéale pour se protéger des aléas de la vie. Un contrat combiné comme Ma Protection Entrepreneur permet d’optimiser sa protection sociale tant en matière de santé que de prévoyance.


    Avec cette solution vous n’avez qu’une seule adhésion à réaliser avec des formalités médicales allégées. Tout peut se faire à distance ou en ligne. Ce qui ne vous empêche pas de bénéficier de conseils d’experts en protection sociale du travailleur indépendant, qui connaissent parfaitement les enjeux de votre situation d’entrepreneur et vous faciliteront grandement la tâche ou vous permettront de ne pas rester bloqué en cas de difficulté.

Ma Protection Entrepreneur :
le seul contrat qui vous protège à la fois en santé et en prévoyance

  • Harmonie Mutuelle vous propose une solution tout-en-un pour protéger vos frais de santé ainsi que ceux de vos proches et vous garantir un maintien de revenu en cas d’arrêt de travail.

     

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Entrepreneurs : 5 clichés sur votre protection sociale

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L'entrepreneuriat est à la fois une grande aventure et un parcours du combattant. Démarches administratives, lancement de l’activité, développement commercial… Les défis à relever sont nombreux et la question de votre protection sociale n’est peut-être pas votre priorité.

Pour votre sécurité et celle de vos proches, comme pour votre sérénité, le sujet ne doit pourtant pas être négligé ! Harmonie Mutuelle vous aide à dépasser les idées reçues pour y voir plus clair.

Cliché N°1

Je suis déjà couvert par l’assurance maladie pour mes frais de santé. 


Soyez vigilant. Quel que soit le régime dont vous dépendez (Sécurité sociale des indépendants ou régime général de la Sécurité sociale), votre régime de base ne prend en charge qu’une partie de vos frais de santé. C’est pourquoi l’adhésion à une complémentaire santé pour améliorer vos remboursements est indispensable.

Bon à savoir :

Le prix moyen d’une couronne dentaire est aujourd’hui de 500 €, mais la Sécurité sociale ne vous remboursera que 84 €. Autre avantage d’une Complémentaire santé : elle peut vous permettre d’accéder à des services comme la téléconsultation, un service très utile quand on dispose de peu de temps.

Cliché N°2

  • En cas d’arrêt maladie, je percevrai des indemnités journalières.


    En cas d’arrêt de travail (à la suite d’une chute ou d’un accident) si vous êtes artisan, commerçant ou dirigeant d’une entreprise industrielle*, vous percevrez des indemnités n’équivalant généralement qu’à 50 % de votre revenu déclaré

    En effet, cette indemnité journalière est plafonnée à un maximum de 60,26 € bruts par jour en 2023 et vous ne pourrez en bénéficier que si vous êtes affilié depuis au moins 1 an !

    Pour éviter de vous retrouver dans une situation financière risquée pour votre foyer et votre entreprise, souscrivez une garantie prévoyance. Celle-ci vous permettra de compenser vos pertes de revenu en cas d'arrêt de travail ou invalidité

    À titre d’exemple, Ma Protection Entrepreneur verse jusqu’à 50 €/jour.

    *affilié à la branche du régime général de l’Assurance-Maladie indépendants

Cliché N°3

Si je décède, ma famille touchera des aides de l’Etat. 

 

Pour les indépendants, le montant du capital versé en cas de décès n’est que de 20 % du plafond de la Sécurité sociale, soit 8 798,40 € en 2023. Une somme qui peut constituer un soutien pour faire face dans un premier temps, mais qui ne permettra pas de subvenir aux besoins financiers de votre famille.

Bonne nouvelle : en plus de la couverture de vos revenus, une garantie prévoyance inclut le versement d’un capital beaucoup plus important.

Par exemple, avec Ma Protection Entrepreneur, ce capital peut aller jusqu’à 50.000 €.

  • Cliché N°4


    C’est cher.


    Si vous êtes gérant majoritaire, commerçant, artisan ou encore conjoint collaborateur (hors micro-entrepreneur), vous pouvez déduire une partie de vos cotisations de complémentaire santé et de prévoyance de votre bénéfice imposable.

    Certaines solutions peuvent également vous permettre de bénéficier de tarifs plus avantageux. C’est le cas par exemple de Ma Protection Entrepreneur, qui vous propose de souscrire une complémentaire santé et une couverture prévoyance en un seul contrat.

  • Cliché N°5


    C’est compliqué.


    Avec un contrat tout-en-un comme Ma Protection Entrepreneur, vous n’avez qu’une seule adhésion à réaliser avec des formalités médicales allégées. Tout peut se faire à distance ou en ligne. Ce qui ne vous empêche pas de bénéficier de conseils d’experts qui connaissent parfaitement les enjeux de votre situation d’entrepreneur et vous faciliteront grandement la tâche ou vous permettront de ne pas rester bloqué en cas de difficulté.

Ma Protection Entrepreneur :
le seul contrat qui vous protège à la fois en santé et en prévoyance

  • Harmonie Mutuelle vous propose une solution tout-en-un pour protéger vos frais de santé ainsi que ceux de vos proches et vous garantir un maintien de revenu en cas d’arrêt de travail.

     

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  • Entrepreneurs, contre quels risques se couvrir pour gagner en sérénité ?

    En tant qu'entrepreneur, nombreuses sont vos préoccupations. Alors parfois, devoir en plus s'interroger sur les risques à couvrir pour son sécuriser votre activité ne semble pas forcément une priorité.

    Pourtant, lorsqu'on sait que plus d’une 1 entreprise sur 2 ne survit pas à un sinistre, cela peut donner à réfléchir. Découvrez dans ce tour d’horizon les différents risques à envisager pour vous tranquilliser l'esprit.

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  • Travailleur Handicapés en ESAT : les règles de mise en place des régimes de Protection Sociale Complémentaire enfin connues !

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    Par deux décrets et un arrêté publiés au Journal officiel le 27 août 2025, les règles de mise en place des régimes de frais de santé pour les usagers des ESAT sont enfin connues et peuvent être formalisées.

    Rappel historique

    • Lors de la généralisation des garanties « frais de santé » par la loi du 14 juin 2013, la couverture des usagers des ESAT n’était pas prévue. En effet, cette loi ne concernait que les garanties pour les salariés du secteur privé. Or, les usagers des ESAT n’ont pas la qualité de salariés au regard de la qualification du Code de l’action sociale et des familles. Ces établissements devaient donc mettre en place des garanties de frais de santé pour leurs salariés sans couvrir les usagers, au risque de se voir sanctionnés par les inspecteurs de l’URSSAF lors des contrôles.

      Au regard de cette différence de traitement, des discussions ont permis, dans un premier temps, de rattacher, sous certaines conditions, ces usagers au régime des salariés. Faute de position juridique claire, leur situation demeurait précaire.

      C’est pour cette raison que la loi du 18 décembre 2023 pour le plein emploi est venue modifier le Code de l’action sociale et des familles afin de permettre aux usagers des ESAT de bénéficier d’un régime complémentaire en frais de santé à compter du 1er juillet 2024, avec la mise en place d’un panier de soins minimum.

      Ces dispositions ne concernent pas les régimes de prévoyance lourde (incapacité, invalidité, décès).

    L’apport des nouvelles dispositions réglementaires

    • Tout d’abord, concernant la formalisation, au regard de la rédaction du Code de l’action sociale et des familles, il est possible de recourir aux actes de droit du travail ordinaires : accord collectif, accord référendaire ou décision unilatérale de l’employeur.

      Il convient toutefois de noter que la voie de l’accord collectif peut soulever des difficultés, dans la mesure où les usagers des ESAT ne sont pas représentés par les organisations syndicales de l’entreprise. La voie de la décision unilatérale sera donc privilégiée.

      Cette formalisation est essentielle, car elle permet d’inscrire les dispenses d’adhésion au régime de frais de santé.

      Le décret n°2025-845 liste les dispenses d’ordre public et les dispenses applicables uniquement si elles sont « prévues dans l’acte de mise en place » du régime dédié, dites « facultatives ». Ces dispenses d’adhésion sont largement inspirées de celles applicables aux salariés. Nous retrouvons ainsi, par exemple :

      • Les travailleurs handicapés bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire ;
      • Les travailleurs handicapés couverts par une assurance individuelle de frais de santé au moment de la mise en place des garanties ou de leur admission au sein de l’établissement ou du service (si elle est postérieure), la dispense ne pouvant jouer que jusqu’à l’échéance du contrat individuel ;
      • Les travailleurs handicapés qui bénéficient, pour les mêmes risques, y compris en tant qu’ayants droit, de prestations servies au titre d’une autre activité professionnelle.

      Il est également prévu une dispense lorsque l’adhésion conduirait l’usager de l’ESAT à s’acquitter d’une cotisation au moins égale à 15 % du montant de sa rémunération garantie (contre 10 % pour les salariés).

    Le financement du régime

    • Le Code de l’action sociale et des familles prévoit que le régime mis en place pour les usagers est au moins aussi favorable que celui des salariés, tant en ce qui concerne le panier de soins minimum que la participation de l’établissement à hauteur de 50 %.

      Néanmoins, outre la participation de l’établissement ou du service, l’État participe également au financement de la couverture en matière de frais de santé des usagers, en assurant « à l’organisme gestionnaire de l’établissement ou du service d’accompagnement par le travail, la compensation d’une partie des cotisations payées au titre de la couverture collective à adhésion obligatoire ».

      L’arrêté du 25 août 2025 prévoit que la compensation par l’État est égale, pour chaque établissement ou service d’accompagnement par le travail, à la moitié des cotisations dues au titre de la couverture collective à adhésion obligatoire en matière de remboursements complémentaires de frais occasionnés par une maladie, une maternité ou un accident, pour les travailleurs handicapés qu’il accueille et qui bénéficient de cette couverture collective.

      Pour obtenir cette participation de l’État, les ESAT devront transmettre une attestation de l’organisme assureur.

    • Article rédigé par le cabinet d'avocats spécialisés en droit social Fromont Briens
      Cet article est à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil juridique personnalisé. © 2025. Tous droits réservés.

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