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Actualités

Le groupe vyv

    L’alimentation au cœur de toutes les problématiques de santé

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    La façon que nous avons de nous alimenter est un révélateur de l’état social de notre société et le triplement, en seulement 8 ans, du nombre de personne en insécurité alimentaire nous interpelle. Accès aux denrées, accès la santé, préservation de nos écosystèmes… Tout est lié.

    Une étude1 parue en novembre dernier, a projeté dans le débat public une thématique qui nous semblait relever des siècles passés tant la question de suffisance alimentaire paraissait éloignée des réalités d’un pays développé tel que le nôtre. Selon les chiffres publiés, 37 % des Français se déclarent en insécurité alimentaire, c’est-à-dire qu’ils n’ont pas accès, de manière régulière, à une alimentation saine et suffisante.

    Portrait-robot des vulnérabilité alimentaires

    Ce chiffre préoccupant le devient plus encore quand on observe qu’il a plus que triplé en seulement huit ans ! (Il n’était « que » de 11 % en 2015). La période fortement inflationniste dont nous sortons à peine explique en grande partie cette nette évolution : pour faire face à la montée en flèche des tarifs de l’énergie, les Français avouent avoir rogné sur leurs achats alimentaires. Ainsi 36 % des personnes se déclarant en insécurité alimentaire expliquent avoir dû amputer leur budget alimentaire pour pouvoir faire face à d’autres dépenses contraintes telles que le logement ou l’énergie.

    88 % des Français ont vu leurs dépenses alimentaires augmenter en 2023 2, 49 % déclarent ne pas pouvoir manger autant qu’ils le souhaiteraient en raison des prix alimentaires et 4 millions de personnes sont concernés par l’aide alimentaire en France métropolitaine.3


    Les jeunes sont les plus durement touchés, les femmes sont majoritaires

    Selon l’étude, la population en insécurité alimentaire est jeune. Un tiers a moins de 35 ans (33 %) et 41 % des 18-24 ans se déclarent en insécurité alimentaire sévère (contre « seulement » 26 % pour la population française au global).

    De ce paysage plusieurs émergent plusieurs profils : les femmes sont surreprésentées (59 % d’entre elles sont en insécurité alimentaire), de même que les personnes vivant seules (28 %), ou les familles monoparentales (13 %). Enfin, 30 % d’entre elles vivent dans les grandes villes (plus de 200 000 habitants).


    La cuisine, un facteur déterminant

    L’étude montre en outre que ces personnes en insécurité alimentaire sont beaucoup moins dotées en équipements de cuisine que la moyenne des Français, ce qui constitue un frein supplémentaire à une bonne alimentation : Un tiers d’entre elles n’a pas l’électroménager indispensable : réfrigérateur, plaque de cuisson, four ou four micro-ondes. Et dès lors qu’elles possèdent deux équipements, il s’agit du frigo et du four à micro-ondes, ce qui limite les plats pouvant être préparés ainsi que la variété des produits alimentaires utilisés.

    Des biais personnels peuvent également conditionner une relation distante aux questions alimentaires. Ainsi, près de la moitié des personnes interrogées (46 %) n’a pas ou plus d’appétence pour le « cuisiné soi-même » et souhaite passer le moins de temps possible derrière les fourneaux.


    80 % des personnes en insécurité alimentaire n’ont pas recours à l’aide alimentaire

    Face à des chiffres aussi alarmants et aux besoins qu’on pressent, il paraîtrait logique que l’aide alimentaire soit fortement sollicitée, ce qui n’est pas le cas ! L’étude met en évidence que la vulnérabilité alimentaire ne peut pas être réduite aux populations qui bénéficient de l’aide alimentaire et qui, selon la Fédération Française du Bénévolat Associatif, représentent 10 millions de personnes en France. En effet, 8 personnes sur 10 en insécurité alimentaire déclarent ne pas avoir recours à l’aide alimentaire. La moitié d’entre elles (47 %) l’expliquent par le fait qu’elles ne sont pas à l’aise avec le fait d’aller dans les lieux où l’aide est distribuée.

    Pour faire face à cette situation, 92 % des personnes concernées déclarent avoir modifié leurs habitudes en termes d’achats alimentaires. Plus de la moitié (58 %) a réduit ses achats en quantité, privilégiant désormais les produits premiers prix et ceux des paniers anti-inflation, un dispositif mis en place par les grandes enseignes de la distribution qui proposent des prix bloqués sur certains produits. Ils se tournent aussi plus vers les marques des distributeurs et des produits anti-gaspi dont la date limite de consommation est proche. Ceux qui ont recours à l’aide alimentaire se rendent dans les banques alimentaires, mais également dans les épiceries solidaires, anti-gaspillage ou les magasins participatifs.


    Des conséquences en termes de quantité mais aussi de qualité alimentaire

    Concernant les pratiques culinaires, l’étude montre que les personnes vulnérables mangent plus de féculent, de conserves ou de plats tout prêts. Elles consomment moins de produits plaisirs (produits sucrés, apéritif, chips), de viande et poisson, d’aliments de qualité (bio, label rouge…) Elles sont 93 % à ne pas pouvoir consommer de la viande ou du poisson au moins tous les deux jours pour des raisons financières. Elles mangent aussi nettement moins de fruits (46 %) et de légumes (54 %) plus d’une fois par semaine.

    Enfin, tous les répondants en insécurité alimentaire utilisent de nouvelles stratégies. Ils mangent plus souvent seuls (5 repas par semaine en moyenne), même quand ils vivent en famille, une tactique parfois mise en œuvre pour masquer le manque de quantité suffisante pour tous. Ils sautent également deux fois plus repas que les autres, notamment les petits-déjeuners et les déjeuners.


    L’alimentation : levier de santé

    Si l’alimentation prend place sur le podium des déterminants de santé les plus importants, c’est que son rôle est central. Une alimentation saine conditionne logiquement une bonne santé.
    A contrario, le cycle de vie des aliments (communément appelé « de la fourche à la fourchette ») peut générer de véritables dérives en termes d’environnement, et ce de façon directe ou indirecte.

    • Pour produire les matières premières alimentaires, l’agriculture a recours à des intrants (engrais, pesticides, etc.) qui vont porter directement atteinte à la santé des consommateurs, mais également contribuer indirectement à la pollution des sols, de l’eau et de .
    • Lors de la transformation des productions agricoles en produits de consommation, de nombreux additifs vont être rajoutés (sucres, conservateurs, exhausteurs de goût, etc.) engendrant des risques potentiels sur la santé des consommateurs.
    • La distribution des produits finis, incluant le conditionnement et le transport, génère à son tour des pollutions variées et de longue durée (usage de plastiques, rejets atmosphériques, etc.)
    • Parmi les solutions à privilégier pour contrecarrer la plupart de ces menaces, certains comportements s’avèrent faciles à mettre en œuvre: manger des légumes frais et de saison, privilégier les circuits courts et l’alimentation durable à travers la filière bio, vérifier les étiquetages des produits


    1Observatoire des Vulnérabilités Alimentaires de la Fondation Nestlé

    2INSEE 2021

    3Observatoire Sociovision 2024

    Mois de l’ESS : 30 jours pour mobiliser

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    Le Groupe VYV, acteur majeur de la santé et de l’économie sociale et solidaire accueillera l’événement de lancement national du Mois de l’ESS le 4 novembre.

    Chaque année en novembre, le Mois de l’ESS célèbre les initiatives qui répondent aux défis de notre société et mettent en avant l’innovation sociale. Les acteurs de l’économie sociale et solidaire se mobilisent pour valoriser leurs projets à travers tout le territoire. Avec près de 200 actions prévues en 2024, le Groupe VYV, engagé pour la santé et l’utilité sociale, entend jouer un rôle clé dans cette dynamique.

    Un engagement fort pour l’innovation sociale et la solidarité

    Le Groupe VYV, en tant qu’acteur majeur du secteur, s’engage à travers ses mutuelles et ses partenaires à rendre visible le modèle non lucratif de l’ESS. Avec l’appui d’initiatives innovantes comme le programme Exploration(s), qui encourage la création de solutions à fort impact social dans le domaine de l’alimentation, le groupe réaffirme son rôle dans la promotion de l’innovation sociale sur tout le territoire.

    Différentes initiatives terrain des mutuelles et entités du groupe sont prévues pour sensibiliser sur l’économie sociale et solidaire et rendre visible les apports concrets de cette forme d’économie pour notre société.

    Harmonie Mutuelle, aux côtés d’Écouter Voir, renouvelle l’opération « Harmonie Mutuelle Friday » qui permet la récupération et le reconditionnement de lunettes inutilisées.

    Le Groupe Arcade-VYV organise la 10e édition des Trophées de l’Innovation Sociale. Des trophées soutenant des initiatives en réponse aux besoins sociaux et environnementaux en faveur du mieux-vivre des habitants et du développement des territoires.

    MGEN sera fortement mobilisée avec une centaine actions de sensibilisation au modèle de l’ESS et à ses valeurs dans les territoires (Exposition Kessaco, diffusion du documentaire « Douce France »…)


    Un lancement national au siège du Groupe VYV

    La 17e édition du Mois de l’ESS sera lancée le 4 novembre au siège du Groupe VYV, à Paris. Ce lancement national mettra en avant une thématique particulièrement d’actualité : « Réparer la démocratie ».

    Au programme :

    • Prises de parole de Benoît Hamon, président d’ESS France et de Stéphane Junique président du Groupe VYV
    • Table ronde sur les enjeux démocratiques et sociaux
    • Remise des Prix nationaux de l’ESS, dans les catégories Transition écologique et Utilité sociale.

    Ce lancement marquera le coup d’envoi d’un mois riche en événements et initiatives à travers la France, visant à promouvoir les valeurs de l’économie sociale et solidaire et ses apports sur notre société.


    Le Groupe VYV à l’avant-garde de la santé et de l’alimentation

    Dans un contexte où les enjeux écologiques, sociaux et sanitaires sont de plus en plus imbriqués et où le besoin d’un nouveau modèle incarné par l’ESS se fait plus évident, le Groupe VYV met en lumière l’importance de l’alimentation pour la santé publique. Une Note de perspective intitulée « Vers un système alimentaire promoteur de santé » publiée par ESS France et le Groupe VYV met non seulement en avant le rôle primordial de l’économie sociale et solidaire dans la transformation du système alimentaire en France, mais propose également des solutions locales et durables pour intégrer la santé comme enjeu central du système alimentaire. Le Groupe VYV entend réaffirmer l’importance de ces déterminants dans l’amélioration des conditions de vie.

    En accueillant le lancement du Mois de l’ESS et en participant à près de 200 actions sur tout le territoire, le Groupe VYV poursuit son engagement pour une économie plus solidaire, durable et innovante.

    Le Mois de l’ESS se clôturera le 29 novembre avec les Journées de l’Économie Autrement (JEA) à Dijon où seront débattues les solutions que l’ESS peut apporter en temps de crise.

    Les Girafes Awards : VYV Enfance récompensé pour 2 projets régionaux

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    Pour leur 11° édition, les Girafe Awards ont (entre autres…) récompensé deux projets portés par VYV Enfance : le premier sur le thème du livre et du récit ; le second sur celui du voyage.

    Chaque année, les Girafes Awards mettent en lumière des projets éducatifs qui allient créativité, innovation et engagement sociétal. Pour l’édition 2024, deux initiatives portées par VYV Enfance ont particulièrement attiré l’attention, illustrant non seulement une approche pédagogique novatrice mais aussi une réponse aux enjeux sociétaux actuels.

    « Viens je t’emmène » … fil rouge de cette édition

    Premier projet récompensé du Prix régional Bourgogne Franche Comté :

    Le projet « Viens je t’emmène au Printemps des Bébés Lecteurs » du Jardin des Familles et sa Ludothèque à Dijon, répond à une problématique majeure : la prévention de l’illettrisme, qui touche encore 2,5 millions de personnes en France. En s’adressant aux tout-petits, ce projet s’inscrit dans une logique d’action préventive, cherchant à éveiller la curiosité des enfants envers le livre dès leur plus jeune âge. Dans un cadre ludique et sensoriel, les enfants, accompagnés de leurs parents, découvrent l’univers des récits à travers des livres tactiles et des activités axées sur la stimulation des sens. Le but est de créer un lien positif et durable entre les enfants et la lecture, ce qui contribue à poser les bases d’un apprentissage serein et enrichissant​.

    Au-delà de son aspect pédagogique, ce projet revêt une dimension fortement sociétale. Il ne s’agit pas simplement d’introduire les jeunes enfants au plaisir de lire, mais de créer un écosystème éducatif où les différents acteurs – parents, professionnels de l’enfance, associations locales – collaborent pour prévenir un fléau social majeur. En réunissant des partenaires variés tels que des crèches, des relais petite enfance, des ludothèques, et même des EHPAD, ce projet met en avant une approche intergénérationnelle et communautaire, visant à renforcer les liens sociaux et à lutter contre l’exclusion culturelle​.


    La société de demain commence aujourd’hui

    Le deuxième projet en lice, « Viens je t’emmène voir mon monde » a reçu le « Prix régional Nouvelle Aquitaine » :

    Porté par la crèche Petits Pas du Pavillon à Libourne, propose un voyage autour du monde à travers des espaces aménagés représentant des pays comme la Chine, le Canada ou le Pôle Nord. Cette démarche pédagogique, inspirée de l’itinérance ludique de Laurence Rameau, encourage l’autonomie des enfants en leur laissant la liberté d’explorer ces univers à leur propre rythme. L’idée centrale est de permettre à chaque enfant de devenir acteur de son apprentissage en revisitant des expériences vécues, tout en impliquant les parents dans ce processus. Cela renforce non seulement le lien parents-enfants mais aussi l’épanouissement cognitif des tout-petits.

    Ces initiatives illustrent parfaitement l’engagement du Groupe VYV dans l’éducation, mais aussi dans la promotion d’une société plus inclusive et solidaire. C’est notamment le cas grâce à des partenariats innovants, à l’image de celui mené avec l’Association Agir pour la petite enfance dont l’objectif est de mobiliser la société tout entière autour de l’éveil et du développement des tout-petits en promouvant la petite enfance en tant que priorité sociétale. Agir pour la Petite Enfance mobilise la société tout entière autour de l’éveil et du développement des tout-petits, en promouvant la petite enfance en tant que priorité.

    À travers des projets comme ceux-ci, les Girafes Awards soulignent l’importance d’une approche éducative qui va au-delà des murs des crèches et des ludothèques, pour s’ancrer dans les réalités sociales et culturelles locales.



    *Photo : L’équipe Nouvelle Aquitaine pour la crèche Petit Pas avec le projet Viens je t’emmène voir mon monde

    Un engagement global pour la santé mentale

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    Face à des enjeux de santé mentale toujours plus complexes, le Groupe VYV mise sur la complémentarité de ses métiers pour offrir à tous des réponses adaptées. Prévention, soins et accompagnement, habitat… le groupe se positionne comme un acteur incontournable dans la promotion d’un bien-être mental durable.

    Parce qu’on ne peut pas parler de santé mentale sans parler de santé globale, nous mettons en œuvre une stratégie ancrée dans la complémentarité de nos métiers et portée par nos différentes entités.

    Tout concourt à une bonne santé mentale : savoir qu’on est bien assuré, bien soigné ; avoir la certitude, grâce à la prévoyance, qu’on sera accompagné pour faire face aux accidents de la vie ; vivre, grâce au label « Mon logement santé », dans un environnement propice à une bonne santé physique, mais également riche en relations sociales… C’est la conjugaison de ces engagements qui permettra demain de garantir un égal accès à la santé et une meilleure santé mentale.

    Pour cela, nous avons défini trois axes majeurs :

    • Favoriser une santé mentale positive et lutter contre la stigmatisation
    • Accompagner et soutenir le pouvoir d’agir des personnes en souffrance
    • Déployer l’accompagnement spécifique des adolescents, des jeunes adultes et des personnes âgées

    Favoriser une santé mentale positive et lutter contre la stigmatisation

    La santé mentale positive va bien au-delà de l’absence de troubles psychiques. Elle inclut le bien-être global, l’épanouissement personnel et la capacité à interagir avec son environnement social. Pour répondre à ces enjeux, nous déployons une série d’initiatives visant à favoriser une meilleure compréhension des problématiques liées à la santé mentale.

    • Le guide santé mentale du Groupe VYV met notamment en avant la nécessité de sensibiliser le grand public à l’importance de la santé mentale positive, en expliquant qu’elle englobe non seulement le bien-être émotionnel, mais aussi la capacité à créer et maintenir des liens sociaux.
    • MGEN et VYV 3 participent activement aux Semaines d’information sur la santé mentale, un rendez-vous annuel qui vise à déconstruire les préjugés et à ouvrir le dialogue sur ces questions.
    • Enfin, les mutuelles du Groupe VYV, MGEN, Harmonie Mutuelle et la MNG, proposent des formations aux Premiers secours en santé mentale à destination du milieu professionnel, un dispositif qui renforce les compétences relationnelles et la gestion des troubles psychiques au travail.

    Accompagner et soutenir le pouvoir d’agir des personnes en souffrance

    Dans une société où le mal-être psychique touche de plus en plus de personnes, nous nous efforçons de proposer des solutions adaptées, personnalisées et accessibles, pour accompagner ceux qui en ont le plus besoin.

    • Avec Vivoptim, nous proposons un parcours de santé mentale qui permet aux individus de bénéficier d’un accompagnement personnalisé, incluant un suivi des différents aspects de leur bien-être psychique.
    • La plateforme d’écoute RMA permet aux adhérents d’Harmonie Mutuelle, de MGEN et de la MNT en situation de fragilité de retrouver leur pouvoir d’agir en leur offrant une écoute attentive et des solutions concrètes pour améliorer leur quotidien. Cette initiative se distingue du service de téléconseil Ecoute santé, proposée par Arcade-VYV aux habitants de ses logements sociaux, et également opérée par RMA, témoignant de l’implication du groupe à plusieurs niveaux.
    • Enfin, les Groupes d’entraide mutuelle et les dispositifs de réhabilitation psychosociale gérés par VYV 3 sont des exemples supplémentaires d’initiatives qui encouragent les individus à retrouver leur autonomie et leur place dans la société.

     

    Déployer l’accompagnement spécifique des adolescents, des jeunes adultes et des personnes âgées

    Nous sommes convaincus de l’importance d’adapter nos actions à tous les âges de la vie. Les jeunes, souvent confrontés à des difficultés particulières, et les personnes âgées, pour qui le maintien du lien social est essentiel, font l’objet d’un accompagnement spécifique.

    • Pour répondre aux besoins des adolescents et des jeunes adultes, VYV 3 a mis en place des dispositifs d’accompagnement tant dans les établissements de santé mentale que « hors les murs », avec des actions de suivi adaptées à la réalité de ces populations.
    • Le Groupe Arcade-VYV, de son côté, mise sur des formes d’habitat collectif qui offrent un environnement sécurisé et convivial, propice au maintien du bien-être mental pour les personnes âgées.
    • Les EHPAD de VYV 3, spécialisés dans la prise en charge des personnes âgées souffrant de handicaps psychiques et mentaux, fournissent un cadre de vie adapté aux besoins spécifiques de ces résidents, avec un accompagnement sur mesure .

    En alliant prévention, accompagnement et solutions de logement adaptées, nous plaçons la santé mentale au cœur de notre action.
    En proposant des solutions innovantes et accessibles, pour répondre aux attentes des individus à chaque étape de leur vie, nous agissons pour que la santé soit accessible à tous et dans toutes ses dimensions.
    Face à des défis sociétaux de plus en plus pressants, nous démontrons que la santé mentale est l’affaire de tous.

    En savoir plus sur l’action du Groupe VYV en santé mentale 

    Le Groupe VYV et l’UDES : un engagement commun pour la santé et la solidarité

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    Le Groupe VYV et l’UDES (Union des Employeurs de l'Economie Sociale et Solidaire), signent cette semaine une convention de partenariat avec pour objectif de travailler ensemble à la préservation de la santé physique et mentale des salariés de l’ESS.

    Le Groupe VYV, engagé dans l’accès du plus grand nombre à la santé, renforce son partenariat avec l’UDES, acteur de premier plan de l’économie sociale et solidaire (ESS). Ce partenariat repose sur des valeurs communes de solidarité et d’entraide, avec pour objectif principal de favoriser l’accès à des soins de qualité et de développer des services de proximité pour tous, salariés, dirigeants, retraités et collectivités.

    Un partenariat au service de la protection sociale

    Le Groupe VYV et l’UDES affirment leur attachement à un système de protection sociale respectueux des individus, économiquement efficace et socialement juste. Ils s’engagent à renforcer leurs actions respectives pour jouer un rôle actif dans la protection sociale. L’UDES apporte au Groupe VYV sa connaissance approfondie des branches professionnelles de l’ESS, tandis que le Groupe VYV offre son expertise en matière de santé et de prévention.

    Parmi les actions phares de ce partenariat, à noter les actions pour la santé mentale des dirigeants de l’ESS, un thème clé pour les années à venir. D’autres thématiques seront également développées, notamment la prévention en santé et l’amélioration de la qualité de vie au travail (QVT) à travers la mise en place de régimes de protection sociale solidaire (santé, prévoyance, retraite). Le dialogue social et le développement de la prévoyance seront aussi au cœur des initiatives conjointes.


    Un engagement pour la formation et l’innovation

    Au-delà de ces actions, le partenariat permettra de former les représentants des branches, des entreprises et des collectivités à la culture mutualiste et de garantir un haut niveau de compétence en matière de protection sociale. Des échanges réguliers d’informations, des formations, et des événements dédiés à la promotion de la santé viendront compléter ce partenariat ambitieux.

    Parmi les actions envisagées, l’UDES s’engage à :

    • Inviter le Groupe VYV à participer à ses congrès et assemblées générales, offrant ainsi un espace de visibilité et de collaboration.
    • Relayer les initiatives et campagnes de prévention du Groupe VYV, et offrir une plateforme d’expression via ses publications et ses canaux de communication, en lien avec les besoins des adhérents.

    Ce partenariat structuré par une convention cadre sera enrichi chaque année par une convention d’application définissant les actions spécifiques à mener. L’objectif commun de ces initiatives est de promouvoir une protection sociale solidaire et d’améliorer la santé au travail, dans une logique de développement durable et responsable.

    Stéphane Junique, Président du Groupe VYV et Hugues Vidor, Président de l’UDES ont signé cette convention cadre le 17 octobre, lors de de l’événement organisé par l’UDES pour ses 30 ans. Cette signature marque une nouvelle étape dans la collaboration entre le Groupe VYV et l’UDES.

    Challenge Sport Entrepreneurs CPME : « the winner is… »

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    En partenariat avec le Groupe VYV et avec le soutien du Ministère des sports et des jeux olympiques et paralympiques, le Challenge Sport Entrepreneurs CPME encourage le développement des pratiques physiques et sportives en milieu professionnel.

    Nous l’avions annoncé en juin dernier, cette fois, c’était hier au tour des lauréats de monter sur scène pour recevoir l’un des deux prix en compétition. La cérémonie a lieu le 17 septembre dans les locaux de la CPME.

    De gauche à droite sur la photo : 

    • Fabien Raffin, chargé relations partenaires région Rhône-Alpes, Groupe VYV ; 
    • Pierre Kuchly, vice-président en charge des unions territoriales, CPME ;
    • Dominique Ezquerra, secrétaire générale, Union CPME Puy de Dôme ; 
    • Thierry Doll, président de la section Services, CPME ; 
    • Sandra Tchadjiane, directrice partenariats – influence professionnelle, Groupe VYV.

    Valoriser le lien entre sport et santé de l’entrepreneur

    Le Challenge Sport Entrepreneurs est ouvert aux Unions régionales et départementales de la CPME qui mobilisent leurs adhérents chefs d’entreprises en lien avec la thématique sport santé.

    A travers son soutien au Challenge, le Groupe VYV entend mettre en lumière les initiatives des Unions territoriales CPME en matière de promotion de la santé et du bien-être des dirigeants d’entreprises au travers des bienfaits de l’activité physique et sportive.

    Deux dotations ont été attribuées par le Groupe VYV :

    • Le Grand Prix , qui récompense l’Union territoriale de la CPME ayant démontré un engagement, une qualité d’organisation et une contribution significative au développement du sport au profit de ses adhérents a été attribué à Chloé Roesch, secrétaire générale de l’Union départementale CPME Vosges. Les jurés ont notamment pris en compte l’originalité et l’innovation des programmes sportifs proposés, ainsi que l’accessibilité des activités, quels que soient l’âge des adhérents, leur genre ou leurs capacités physiques, et enfin l’implication des adhérents dans les activités. L’Union récompensée se voit offrir l’intervention de Christelle DAUNAY, athlète française spécialiste des courses de fond afin d’illustrer les bienfaits du sport et l’activité physique comme antidotes au stress du dirigeant.
       
    • Le Prix du Jury qui récompense quant à lui une deuxième Union territoriale de la CPME qui, bien que n’ayant pas été sélectionnée pour le Grand Prix, démontre un engagement exceptionnel, une passion certaine et un impact positif dans la pratique du sport a été attribué à Dominique Ezquerra, secrétaire générale de l’Union départementale CPME Puy de Dôme. Ce prix est décerné à une union territoriale dont le dossier a particulièrement retenu l’attention du jury et qui mérite d’être encouragée et soutenue dans ses efforts continuels pour le développement du sport local. L’union lauréate se voit offrir un atelier d’une demi-journée avec l’intervention d’un expert Vivoptim Solutions de l’accompagnement santé au quotidien.

    Pour l’occasion, Sandra Tchadjiane, directrice partenariats – influences professionnelles représentait le Groupe VYV afin de remettre le prix du jury aux côtés du représentant de la CPME et de la MSJOP.

    « Enfant demain » : une deuxième édition en Bourgogne

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    L’évènement dédié à l’enfance et initié l’an dernier par MAIF et le Groupe VYV s’apprête à vivre sa deuxième édition. Du 17 au 18 octobre, il investit les murs de la Cité internationale de la gastronomie et du vin de Dijon.

    Les profondes mutations auxquelles nous sommes confrontées ont des répercussions dans la plupart des domaines de la société. Entre montée de l’éco-anxiété, digitalisation à outrance des rapports humains, exclusions sociales, progression des violences et des situations conflictuelles … Comment aider les enfants, dont on dit à juste titre qu’ils sont « des éponges », à se développer harmonieusement et à grandir en toute quiétude alors que les points de repères sont chaque jour plus flous ?
      

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    L’enfance au centre des attentions

    C’est tout l’objet d’Enfant demain ! Le projet, qui faisait ses premiers pas l’an dernier, consiste plus que jamais à rassembler, autour d’une thématique commune, tous les acteurs de l’enfance : experts, professionnels, associations, scientifiques, pouvoirs publics, parents… et enfants, pour explorer les trois enjeux majeurs de l’enfance. Identité de l’enfant, pouvoir d’agir et droit au bien-être seront en effet, durant ces deux journées, au centre de tous les échanges.

    Enfant demain s’inscrit clairement dans la démarche de l’Economie sociale et solidaire et, avec un peu d’avance, dans le cadre des évènements organisés à l’occasion du Mois de l’ESS. L’évènement est d’ailleurs soutenu par la ville de Dijon ainsi que relayé par VYV 3 Bourgogne, l’offre de soins et d’accompagnement du Groupe VYV, de MGEN, Harmonie Mutuelle et de la MNT. Le Groupe VYV agit sur l’éducation populaire en santé à travers ses actions de prévention, touchant tout autant la petite enfance que le public jeune adulte. De ce fait, plusieurs porte-paroles du groupe interviendront durant ces deux journées, notamment :

    • Candice Van Lancker, directrice du programme Ethique et confiance numérique au sein du Groupe VYV, animera la séquence « L’enfant de demain à l’ère du numérique : vers un citoyen éclairé ou influencé ? ».
    • Des représentants de VYV 3 Bourgogne, l’offre de soins et d’accompagnement du Groupe VYV, et ses partenaires territoriaux animeront un atelier autour de l’accès aux aliments pour les enfants notamment dans les crèches de VYV Enfance.
    • Harmonie Mutuelle présentera son programme pour la santé des enfants et la parentalité ainsi que son dispositif « Bracelet rouge » dans l’espace Rencontres.
    • Emilie Banny – Ducelier, membre du bureau du Groupe VYV en charge de l’économie sociale et solidaire, clôturera le programme aux côtés d’Hélène Hannoir, présidente de MAIF Impact, sur la place de l’ESS, le rôle de la solidarité et l’importance de l’engagement des citoyens dans le mouvement de la protection sociale pour soutenir le développement et l’épanouissement de l’enfant.
       

    Une programmation riche et variée

    Au programme de ces 2 journées, des conférences et des tables rondes, des ateliers d’éveil et des expériences créatives dédiés aux enfants, ainsi qu’un espace rencontres plus particulièrement destiné aux familles afin de leur présenter des dispositifs et des outils de prévention concernant l’éducation à la santé, la santé environnementale ou bien encore la prévention des addictions.
    À noter que la participation à l’ensemble des évènements proposés se fait sur simple inscription et sans aucun frais.

    Cette année, plusieurs thèmes seront explorés par les conférenciers :

    • La diversité et l’inclusion
    • La maîtrise de la violence et des conflits
    • Le numérique éthique
    • Une alimentation saine et respectueuse de la planète
    • L’éducation ouverte et participative

    Outre ces temps de débats, de témoignages et de partage d’expériences, plusieurs temps forts vont venir rythmer ces deux journées.

    • Jeudi 17 octobre à 13h : Course solidaire de jeunes « Enfant demain 2024 » pour promouvoir les bienfaits de l’activité physique et sportive sur la santé auprès des jeunes et sensibiliser à la cause des maladie rares.
    • Jeudi 17 octobre à 19h30, Conférence en direct à distance et en présentiel de Daniel Tammet, écrivain, poète, hyperpolyglotte et mathématicien autiste, intitulée « Une enfance neuroatypique ».
    • Vendredi 18 octobre à 16h30 : Spectacle humoristique de Matthieu Nina, comédien, autour des parcours et du handicap.


    Voir l’intégralité de la programmation 
    et vous inscrire gratuitement 

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    Il sera aussi possible de voir ou revoir l’ensemble des conférences et tables rondes dès le début du mois de novembre sur le site Enfant Demain.
       

    Vivoptim Solutions s’invite à La santé d’abord

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    Le magazine vous propose une check up complet pour bien vous relancer et mieux affronter la rentrée.

    Un check up de rentrée, c’est que vous propose Véronique Mounier et ses invités dans cette émission de rentrée

    Après des semaines de détente, le retour au travail et au stress du quotidien est souvent difficile à affronter. Rythme de sommeil, alimentation, sport et bien entendu, retour au travail… les sujets ne manquent pas. Ils sont, comme toujours, très documentés et porteurs de nombreux enseignements.

    En compagnie de Virginie Femery, directrice générale de Vivoptim solutions et d’Axelle Mayet, Docteur en Pharmacie et nutrithérapeute, vous découvrirez les bonnes attitudes à adopter pour renouer avec le quotidien tout préservant votre santé.

    Durée de visionnage : 26:59

    Salon H’Expo : le Groupe VYV réaffirme le lien entre logement et santé

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    Le Groupe VYV participera pour la cinquième année consécutive au salon H’Expo du 24 au 26 septembre 2024 au Parc des Expositions de Montpellier. Ambition du groupe : rappeler le rôle du logement dans les conditions d'une bonne santé.

    Pour une santé accessible à toutes et tous

    L’habitat est une condition essentielle du bien-être de tous, et à tout âge. Pour rappeler ce lien essentiel entre logement et santé, le Groupe VYV, à l’occasion du Salon H’Expo, présentera son label Mon logement santé. Une occasion de dévoiler certaines de ses réalisations ainsi que l’offre de services permettant de contribuer à améliorer la vie des habitants. À cette occasion, un espace de rencontres et d’échanges entre acteurs majeurs de l’habitat en France sera proposé aux visiteurs.

    Vers une nécessaire prise en compte des problématiques de logement

    Aujourd’hui près de 2,6 millions de personnes attendent l’attribution d’un logement social, presque deux fois plus qu’il y a 10 ans. A cette pression et la crise du logement qui subsiste en France, s’ajoutent d’autres problématiques et enjeux liés notamment, au dérèglement climatique, à l’insalubrité des logements, leur inconfort ou encore à l’état de santé de leurs résidents.

    Le 29e rapport annuel sur l’état du mal logement en France de la Fondation Abbé Pierre révèle en effet que derrière les façades anonymes de copropriétés dégradées, les logements indignes restent trop souvent invisibilisés et leurs habitants totalement démunis. Pour toutes ces personnes, il n’est pas uniquement question de logement, mais bel et bien de santé et d’estime de soi.

    Toujours selon ce même rapport, outre ces situations les plus graves, 12,1 millions de personnes sont touchées à des degrés divers par la crise du logement. Cela est en partie dû à : des copropriétés en difficulté, des locataires en impayés de loyers ou de charges, des logements en situation de surpeuplement modéré, des problématiques d’isolation et de précarité énergétique ou encore d’un effort financier excessif. C’est pourquoi le logement doit aujourd’hui être une priorité politique.


    Le logement santé : un enjeu stratégique du Groupe VYV

    L’ensemble des problématiques précitées ne font que confirmer le lien indissociable entre habitat et santé. Le Groupe VYV a inscrit le logement santé dans son plan stratégique, et fait du logement son 3° métier, aux côtés des soins et de l’accompagnement et de l’assurance.

    C’est dans cette optique, que s’inscrit donc la volonté du Groupe VYV de promouvoir la démarche logement santé  et le label Mon logement santé. Le déploiement de ce label sur l’ensemble du territoire par le Groupe Arcade-VYV, incarnant le 3e métier du Groupe VYV, figure ainsi parmi les priorités du projet stratégique avec l’engagement que 50% de sa production de logements soit labellisée Mon logement santé. A date ce sont déjà :

    • 35 projets labellisés Mon Logement Santé en fin de conception, soit 1 374 logements qui seront livrés entre 2025 et 2026
    • 44 projets engagés dans une première étape de labellisation
    • 12 résidences livrées représentants 515 logements

    A noter également qu’un nouveau label est en cours de préparation et sera dévoilé lors du prochain salon H’EXPO. Celui-ci concernera la rénovation des bâtiments existants dans le parc social français.

    Le label Mon logement santé, élaboré en concertation avec des experts de la santé, de la protection sociale et de l’immobilier, vise non seulement à encourager la construction de logements plus favorables à la santé, mais aussi à les équiper de « services » pour faciliter le quotidien de tous et renforcer le lien social ou l’accès aux soins, notamment pour les plus vulnérables.


    Des logements séniors avec services

    Découvrez la résidences pour séniors autonomes « André Thibault » au Lion d’Angers (49) labellisée Mon logement santé.

    Le Groupe VYV et Harmonie Habitat y ont proposé un dispositif qui permet aux locataires de bénéficier de logements à loyers abordables avec des prestations de services et un accompagnement humain. Un projet qui facilite le quotidien des résidents mais qui permet aussi de créer du lien entre logement et santé.

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    Un véritable état d’esprit sportif souffle sur VYV 3

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    Tandis que la promotion de l’Activité Physique et Sportive a été désignée grande cause nationale en cette année 2024, nombre d’entités et d’établissements VYV 3 se sont mis en ordre de marche pour proposer des activités physiques et sportives adaptées à leurs différents publics. Fédérateur et favorisant le dépassement de soi, le sport rime avec santé !

    Quand le sport favorise l’inclusion et le lien social

    Le sport est reconnu comme un puissant vecteur d’insertion et d’intégration sociale. Les pratiques sportives favorisent l’engagement, l’autodétermination et l’épanouissement personnel, contribuant ainsi à l’inclusion et à la réinsertion sociale des bénéficiaires. Participer à des activités physiques et sportives permet de se rencontrer, de collaborer et de développer des relations, quelle que soit son origine ou sa condition. Ainsi, les personnes en situation de handicap, les enfants ou les personnes âgées peuvent se sentir intégrés et valorisés pour leurs capacités tout en améliorant leur estime de soi et en gagnant en autonomie.

    Chez VYV 3 Centre-Val de Loire, l’événement fédérateur intitulé « O’ Cœur du Sport » a émaillé toute l’année 2024. Rassemblant usagers, patients, familles, salariés et partenaires autour de la pratique sportive, cet événement de grande ampleur a permis de mettre en place des actions concrètes de prévention de la santé et de bien-être autour de nombreuses pratiques sportives et inclusives. Ainsi tandis que des seniors issus de résidences autonomie se sont par exemple initiés au tango, à la gymnastique ballon, à la pratique du yoga bâton ou encore à la boxe, des résidents d’Ehpad ont pu s’essayer au tir à l’arc, à la pétanque, au cricket ou au tennis de table. Les jeunes en situation de handicap (IME Charlemagne et Foyer d’Accueil Médicalisé La Grande Maison) se sont vus proposer des activités autour du handball, foot -fauteuil, escalade, escrime, taekwondo, boxe, céci-pétanque, handi-basket, handi-ping-pong… accompagnées d’initiations et parfois de démonstrations de sportifs valides ou non. Les tout-petits de la crèche Le Petit Poucet, à Bourges, ont bénéficié d’un parcours sportif unique pour ramper, faire des cabrioles, courir… et se sont essayés à plusieurs disciplines comme le basket, le tennis ou encore le tir à l’arc. Enfin, afin de favoriser l’inclusion et les liens intergénérationnels, quelle meilleure solution que d’organiser un challenge multi-sports ? Résidents, familles, collègues de VYV³ Centre-Val de Loire, enfants de la Crèche de Beauval et partenaires se sont réunis dans l’EHPAD Les Bois Blancs à Veuzain autour de nombreuses activités adaptées.

    Au sein de VYV 3 Sud-Est, tandis que sept résidents du Foyer de vie de Meaulx dans le Var ont été sacrés champions de France 2024 de para rugby adapté, des résidents d’Ehpad ont participé aux jeux inter Ehpad organisés par le CCAS et l’hôpital de Béziers, ainsi qu’à la première édition des Olymp’EHPAD du Biterrois, journée de compétitions sportives comprenant 8 épreuves : volley, tir, lancer de poids, course, basket, rugby, golf, vélo (à bras).


    Quand le sport rime avec écologie

    On désigne par mobilités douces les moyens de déplacement telles que la marche, le vélo ou encore la course à pied. Ces mobilités contribuent à améliorer la condition physique tout en renforçant le système cardiovasculaire, en réduisant le risque de maladies chroniques ainsi que notre impact sur l’environnement. Car en favorisant les mobilités douces, on met de côté des moyens de transport plus polluants comme la voiture.

    C’est pourquoi VYV 3 Normandie et VYV 3 Bretagne ont cette année activement participé à l’événement « Mai à vélo ». Cet événement unique alliant santé, plaisir et convivialité, était l’occasion pour VYV 3 Bretagne de rassembler les professionnels, usagers et adhérents et de les faire participer à un grand circuit à vélo matérialisé, un circuit en draisiennes pour les tout-petits, des balades en triporteur pour les personnes à mobilité réduite, des essais de vélos électriques et tandem, des ateliers vélo-smoothie, mais également de proposer des stands en lien avec différentes maisons du Groupe VYV autour de la Sécurité en mobilité douce, la Santé environnementale (alimentation, qualité de l’air), la Lutte contre le gaspillage alimentaire, et le Sport Santé. Pour VYV 3 Normandie, l’événement était également une belle façon d’encourager les collaborateurs dans une démarche plus durable dans le cadre des trajets domicile-travail.

    La Clinique Mutualiste de Pessac (Pavillon de la Mutualité – membre de VYV 3) a mis en place une action autour de la prévention routière à vélo avec pour objectif d’encourager les salariés et visiteurs à utiliser des moyens de locomotion doux comme le vélo en proposant des animations autour de l’usage du vélo avec un parcours dédié ainsi qu’un atelier « réparation vélo » pour obtenir des conseils d’entretien. Des messages de prévention et des conseils sur la mobilité et l’éco-conduite ont aussi été largement diffusés.

    En partant du postulat que marcher dans la nature est aussi bon pour le corps que pour l’esprit, VYV 3 Bretagne a organisé une balade contée avec la Mutualité Française Bretagne (MFB), un circuit de marche de 3 km environ à destination des seniors ponctué de pauses contées, l’Esat Tech’Air de VYV 3 Ile-de-France a mis en place des randonnées en forêt pour ses usagers et la Mutualité Française Vienne – membre de VYV 3 a proposé aux résidents de son Unité pour les Personnes Handicapées Vieillissantes une Eco’ Rando’ de 2 kilomètres, leur permettant d’allier une activité physique à la protection de la planète, en ramassant un grand nombre de déchets.


    Quand le sport mise sur la prévention au service du bien-être et de la santé

    « Mieux vaut prévenir que guérir », loin d’être galvaudé cet adage nous rappelle que l’activité physique quotidienne et adaptée contribue à une meilleure qualité et durée de vie et à la prévention de diverses pathologies. En plus de ses bienfaits physiques, le sport contribue à une bonne santé mentale et au bien-être général, ainsi qu’à la rééducation et à la prévention santé secondaire pour les personnes en situation de handicap.

    Au sein de VYV 3 Centre-Val de Loire, un parcours pédestre a été inauguré à l’EHPAD Chevilly dans le Loiret : le parcours pédestre est adapté aux personnes âgées et a été pensé pour modifier les habitudes et les comportements de chacun grâce à des circuits qui permettent d’augmenter l’activité physique, le nombre de pas journaliers, de travailler sur l’autonomie de marche et de lutter contre la sédentarité des résidents.

    A l’occasion de la Journée mondiale de la sensibilisation à l’autisme, VYV 3 Normandie a organisé dans la salle de sport de son Foyer d’Accueil Médicalisé Teranga de Verson une session de zumba adaptée : vingt résidents atteints de troubles autistiques sévères, mêlés aux professionnels de l’établissement mais aussi du Siège, ont ainsi pu danser au rythme de la musique avec joie et enthousiasme, dans un esprit empreint de positivité.

    L’équipe du Foyer d’accueil médicalisé – Centre d’insertion pour cérébro-lésés de Rueil-Malmaison de VYV 3 Ile-de-France poursuit la promotion de la santé et du bien-être au travers du sport auprès des personnes qu’elle accompagne : les usagers bénéficient d’une séance de golf par semaine avec un fauteuil Paragolfer sur le parcours totalement accessible et écoresponsable du Haras de Jardy, ainsi que de sessions de tir à l’arc et d’escalade « Block Indoor ».

    VYV 3 Terre d’Oc a mené une action de prévention intitulée « La semaine du prendre l’air » dans ses crèches : une façon originale et ludique de partager avec les professionnels et les familles tous les bienfaits des activités physiques extérieures et du prendre l’air au quotidien pour la santé et le bien-être des enfants.

    Les habitants de la Résidence George Sand de VYV 3 Bourgogne restent quant à eux en forme grâce à la pratique régulière du taïso judo. Cette activité comporte de nombreux bienfaits pour les aînés : maintien de l’autonomie, de la coordination, estime de soi, renforcement du lien social…


    Quand le sport promeut la solidarité et l’innovation

    Organiser des événements sportifs, conviviaux et solidaires est un excellent moyen de collecter des fonds aussi bien pour des causes humanitaires et philanthropiques que pour la recherche ou pour soutenir des projets innovants au service des personnes en situation de fragilité. Par ses actions de sport-santé solidaires et la mise en mouvement collective de ses collaborateurs, VYV 3 réaffirme son positionnement d’opérateur non-lucratif engagé et solidaire tout en partageant des valeurs communes autour de la persévérance et la bienveillance.

    C’est avec une volonté collective que deux équipes représentant le Groupe VYV se sont engagées dans le projet solidaire portée par la course de stand-up paddle Vendée Cœur. Ces équipes ont mobilisé 15 collaborateurs d’Harmonie Mutuelle, MGEN, MNT, le Groupe Arcade VYV, Harmonie ambulance, VYV 3 Pays de la Loire (5 salariés d’Ecouter Voir) et Hospi Grand Ouest, qui ont pagayé et se sont relayé 24 heures durant. Ce sont près de 5 500 € qui ont été collectés au profit de Premiers de Cordée, une association qui promeut le Sport Santé, et des associations AVLC et LE CAMINO DE L’ESPOIR, afin de contribuer à offrir aux enfants soignés dans les hôpitaux l’accès au divertissement par l’activité sportive.

    Le Groupe VYV était fièrement représenté lors d’édition 2024 de la course solidaire de l’Albi Run avec 180 collaborateurs issus d’Harmonie Mutuelle, Harmonie Médical Service, MÉSOLIA, MGEN, MNT et VYV 3 Terres d’Oc, récompensé par le 1er prix des entreprises les plus représentées. Les bénéfices de la course ont été reversés à l’association Trakadom, œuvrant au maintien à domicile de patients appareillés. VYV 3 Terres d’Oc a accompagné cette belle initiative locale en cohérence avec ses valeurs mutualistes de solidarité et de prévention à travers le sport-santé en mobilisant aussi bien ses élus que ses salariés, en tant que bénévoles, coureurs et marcheurs et par son soutien financier.

    Le centre mutualiste de rééducation et de réadaptation fonctionnelles de Kerpape (VYV 3 Bretagne) a développé une véritable expertise sur la thématique du sport-santé depuis de nombreuses années. Cela se traduit notamment par la mise en place d’une structuration organisationnelle appelée « Kerpape Sport » au service de la prise en charge de sportifs amateur et de haut niveau handisport, de la rééducation et de l’épanouissement personnel par le sport, de la prévention santé, de la recherche et développement au service du sport. En juin, a eu lieu la cinquième édition des défis de Kerpape avec 56 équipes, constituées d’enfants et d’adultes, de personnes valides et de personnes en situation de handicap, engagées lors d’un triathlon solidaire (natation, vélo et course à pied) afin de collecter des fonds au bénéfice du Fonds de dotation de Kerpape et donc de soutenir des projets innovants au service des personnes en situation de handicap. Salariés d’entreprises, administrateurs du fonds, patients, anciens patients, familles et salariés de l’établissement se sont mobilisés pour faire de cette journée une réussite et un moment de convivialité dans les valeurs partagées avec les équipes du Centre de Kerpape.

    Six professionnelles du bloc opératoire de la Clinique Mutualiste La Sagesse (Hospi grand Ouest – membre de VYV 3) ont constituées l’équipe « Sénésagesse » et se sont engagées dans la Sénégazelle, une course exclusivement féminine qui a eu lieu du 27 avril au 5 mai 2024 au Sénégal. Cette course solidaire avait pour objectif d’apporter une aide matérielle aux élèves sénégalaises afin de favoriser leur réussite scolaire mais également d’améliorer l’accueil et le bien-être des enfants opérés de Clinique Mutualiste La Sagesse grâce à l’association Les P’tits Doudous.


    Quand le sport est sublimé par l’art

    Si a priori l’on peut penser que l’art et le sport sont deux mondes bien distincts, l’art peut cependant s’exprimer à travers le sport de différentes manières : des événements sportifs peuvent être l’occasion de performances artistiques et de créations visuelles ; des expositions picturales, sculpturales ou photographiques peuvent mettre en valeur les sports et sportifs au sommet de leur performance. Le sport et de l’art se complètent et s’enrichissent mutuellement pour améliorer l’expérience des participants tout en démocratisant l’accès à la culture.

    En juin, VYV 3 Bourgogne a monté l’exposition collective « Les sportifs de l’Art pour Tous » à la Piscine Olympique Dijon Métropole. Les artistes, issus de 30 établissements médico-sociaux, sanitaires et sociaux de Bourgogne Franche-Comté, étaient au rendez-vous pour présenter leurs œuvres autour du sport, du dépassement de soi et de l’Art comme vecteurs de cohésion, d’inclusion et de santé. L’inauguration a été l’occasion d’un après-midi festif, avec une démonstration d’escrime et une remise de trophées aux participants.

    La menuiserie Bois de Promut, entreprise adaptée de VYV 3 Bourgogne, a mis ses talents au service du Tour de France à la demande de la Ville de Dijon : de magnifiques silhouettes de cyclistes en bois ont été confectionnées et installées pendant toute la durée du Tour de France.

    L’engagement constant des collaborateurs de VYV 3 autour sport-santé durant l’année 2024 permet aux résidents, patients, clients et usagers de bénéficier des bienfaits des activités physiques et sportives sur leur bien-être, leur intégration sociale, leur santé à la fois physique et mentale. Nous tenons à remercier tous ceux qui se sont mobilisés chaque jour, au cœur des territoires, pour se saisir de cette grande cause nationale et en faire la leur !

    Protéger l’humain et préserver les écosystèmes : le temps de l’action

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    71 % * des Français jugent que la dégradation de l’environnement et le changement climatique seront préjudiciables à leur santé et 88 % qu’ils le seront pour les générations futures. Ces chiffres inquiètent, interrogent et appellent des réponses. Entretien avec Stéphanie Goujon, directrice de l’empreinte mutualiste du Groupe VYV.

    Le Groupe VYV est aujourd’hui un des rares acteurs dans la sphère mutualiste, à porter le combat autour du lien entre santé et environnement. Comment l’expliquez-vous ?

    Ce qui nous guide, c’est notre raison d’agir. Faire en sorte que la santé soit accessible à tous, c’est évidemment établir ce lien évident entre santé et environnement. Et puisque notre groupe est leader en santé et protection sociale, il était logique que nous nous emparions de ce déterminant de santé. Si on fait aujourd’hui le lien entre climat, santé, et biodiversité, c’est que cet impact est désormais avéré. La dégradation de la biodiversité, les dérèglements climatiques… Tout cela pèse sur notre santé. Tenter d’agir sur le climat et la perte de biodiversité, c’est en premier lieu, et même si on ne peut pas réduire le sujet à cela, poursuivre l’action déterminée qui est la nôtre en termes de prévention. Tout cela est au cœur de la stratégie du groupe, mais il faut noter qu’il existe sur ce sujet une réelle sensibilité de nos dirigeants qui ont souhaité le porter dans notre Plan stratégique VYV 2025.

    Reconnaissons aussi que tout le monde s’est vu tenu de s’aligner sur une réglementation devenue nettement plus exigeante. Mais là où la plupart des entreprises ont vécu cela comme une contrainte, nous avons choisi d’en faire un axe d’opportunité en cherchant à maximiser l’impact que nos actions pourraient produire sur le quotidien des Français. Pour penser le sujet sur le long terme, nous nous sommes d’abord attachés à savoir comment nous allions organiser notre action. En l’occurrence, nous avons commencé par décarboner nos activités parce que cela représente tout de même pour notre groupe 8% des gaz à effet de serre. D’ores et déjà, ces actions vont permettre d’atténuer le choc et nous permette d’endosser pleinement notre statut d’acteur responsable. Mais une fois ce premier volet mis en place, reste tout ce que l’on peut faire en tant qu’opérateur de santé, en tant qu’investisseur, et en tant qu’employeur. Et là, le champ des possibles est très large.


    Le fait que nous soyons un groupe de référence nous contraint d’une certaine façon à l’exemplarité ?

    Oui, tout à fait, et encore plus en tant qu’opérateur de santé ! Nous avons un large registre d’actions parce que nous agissons à la fois sur la sensibilisation, la pédagogie, et ce qui va être plus classiquement associé à la prévention. On peut alerter, on peut poser des diagnostics… C’est d’ailleurs l’objet du Livre blanc Santé Environnement que nous avons publié et qui s’intitule « diagnostic et premier pas en santé environnement ».

    Le premier des constats à poser, c’est que la cause principale de mortalité environnementale, c’est la pollution de l’air. Chaque année ce sont 46 000 décès prématurés ! C’est autant, voire plus, que le tabac ! Rendre publics ces constats c’est accepter de jouer un rôle de lanceur d’alerte. C’est en tous cas notre devoir d’en parler.
    Et puis, en tant qu’assureur, nous pouvons faire aussi agir en réduisant les risques. L’exemple que je pourrais donner en la matière est l’expérimentation actuellement menée en région Normandie avec le Health data hub qui nous permet de croiser des données environnementales et des données de santé avec pour objectif de mieux faire le lien entre l’apparition des pollens et les allergies. Ce dispositif permet de prévenir les gens en amont et les inciter à prendre leurs médicaments au bon moment.

    Plus largement, je pense qu’on ne peut pas proclamer, dans un manifeste, le droit à la santé pour tous, sans s’attaquer frontalement à cette cause, qui impacte et impactera de plus en plus la santé de nos concitoyens. Je n’oublie pas non plus que nous sommes avec l’ensemble de nos entités, des entreprises mutualistes : nous savons mobiliser, faire coopérer des institutions, des entreprises et des habitants autour d’un même sujet.

    Dans cette dimension partenariale, vous incluez notre action en relais des pouvoirs publics ?

    Bien sûr ! L’Etat prend évidemment sa part sur ces thématiques. On peut penser au Plan national santé environnement qui montre qu’effectivement ce sujet commence à être pris en considération, mais je voudrais rappeler, selon la formule consacrée, que « l’Etat n’a pas le monopole de l’intérêt général » ! Autant il est tout à fait intéressant que des acteurs économiques non lucratifs, dans une optique de coopération, s’emparent de ces sujets d’intérêt général aux côtés de l’Etat, autant je suis persuadée que nous pouvons faire beaucoup plus que l’Etat. Reste bien sûr le besoin d’un cadre règlementaire et légal qui nous permette de travailler efficacement, et sur ce plan, c’est évidemment à l’Etat d’agir.


    Le plan stratégique VYV 2025 posait l’ambition d’une exemplarité en termes d’empreinte environnementale. On a le sentiment, alors que la préparation du prochain plan va débuter, que le groupe a envie d’aller plus loin, d’élargir son champ d’action et de pousser ces sujets plus encore qu’il ne l’a fait jusqu’à présent ?

    C’est parfaitement exact ! D’abord parce que l’évolution de certains éléments règlementaires fait que ces questions deviennent centrales. C’est le cas des différentes directives européennes, de la CSRD qui pousse les entreprises à s’interroger sur leurs politiques et à se mettre en cohérence avec l’Accord de Paris… C’est une logique à l’œuvre qui va continuer de produire des effets transverses. Et puis il y a un deuxième volet que j’appellerais « notre volonté politique » : nous avons un président qui en a appelé à ce que le groupe devienne un des leaders en santé environnement. Cette volonté nous engage collectivement.

    Par ailleurs, les effets du dérèglement climatique sont de plus en plus visibles. Le réchauffement s’accélère, et avec lui la cohorte d’évènements climatiques : canicules, sécheresses, inondations… Sans compter ce qui se voit moins et qui a au moins autant d’importance : la raréfaction de l’eau, la disparition massive d’espèces animales, et bien sûr la pollution de l’air. On considère aujourd’hui que 30 % des nouvelles maladies infectieuses sont liées à la dégradation des écosystèmes (1) et près d’un quart des décès sont, selon l’OMS imputés à des problématiques environnementales. Santé publique France avait de son côté avancé le fait que le premier facteur pesant sur notre santé, était l’environnement, entendu au sens large du terme.

    Reste que certains sujets sont difficiles à traiter et que l’action que nous pouvons avoir sur eux parait plus distante. C’est typiquement le cas de la biodiversité : comment expliquer qu’un groupe tel que le nôtre peut avoir une influence sur ce sujet ? Et pourtant, nous avons bel et bien une influence ! Je citais le travail de suivi des pollens, c’est un exemple mais d’autres initiatives sont à l’œuvre comme, par exemple, le Fonds Forêts. Des terrains qui paraissent pourtant très éloignés de la question des écosystèmes s’avèrent tout aussi fondamentaux. C’est notamment le cas de nos politiques d’investissements. En choisissant de financer les organisations les plus exemplaires et en retirant nos investissements à celles qui ne le sont pas, nous contribuons à faire bouger les lignes. On commence à calculer l’empreinte biodiversité pour que cela devienne aussi un outil de pilotage. Je crois que nous devons accepter le fait que la biodiversité est un sujet complexe mais que nous pouvons aussi y apporter des réponses concrètes sur la base de coopérations et d’alliances. Et cette méthode, nous la connaissons bien, c’est celle qui est à l’œuvre au quotidien dans le mutualisme.

    Enfin, il faut surtout que nous comprenions que sur ces sujets, tout est lié. Il existe par exemple un lien avéré entre hausse des températures et taux de suicides, on parle désormais d’éco anxiété, et donc de santé mentale… Rien ne doit être négligé et tous ces éléments interagissent.

    Alors, effectivement, la manière dont notre groupe est constitué, la complémentarité des métiers, notre présence forte sur le terrain et au plus près des réalités… tout cela fait que nous avons un rôle majeur à jouer en la matière.


    Même si la prise de conscience d’une urgence est partagée par tous, nous n’en sommes encore, le plus souvent, qu’au stade des expérimentations. C’est un passage obligé ?

    Regardons le chemin parcouru ! Il y a encore quelques années, les craintes que nous identifions clairement aujourd’hui n’étaient considérées comme une urgence que par quelques spécialistes. Ce lien entre santé et environnement n’était pas identifié comme une priorité.

    Alors bien sûr, nous n’en sommes pas encore à concevoir des dispositifs capables de répondre à toutes les situations. Nous sommes effectivement dans cette phase où nous expérimentons beaucoup. C’est le cas avec le Health Data Hub et son travail sur les pollens, mais nous lançons aussi des projets pionniers comme le Label logement santé. Aujourd’hui ce label c’est du concret, avec plus de 1300 logements labellisés d’ici 2026. Nous travaillons aussi le sujet de l’alimentation avec notre programme Exploration(s), lui aussi basé sur des coopérations fortes avec les acteurs de terrain. En interne, nous avons développé une formation sur ce lien santé-climat-biodiversité, une formation également ouverte à nos partenaires.

    Vous avez développé une politique très active de partenariats. C’était une nécessité ?

    Nous n’avons pas le choix ! Nous n’avons pas la ressource, les compétences, l’expertise… et nous avons, sur ces sujets là, besoin de tout le monde. Je n’aime pas beaucoup le mot « systémique », mais en l’occurrence, nous sommes face à une telle complexité des enjeux, à une telle interdépendance des problématiques, qu’il est impossible de n’en traiter qu’une seule sans traiter les autres, faute de quoi nous ne répondrons qu’à une toute petite partie de la question. Nous sommes vraiment en train de changer de registre dans l’appréhension des enjeux. C’est le cas lorsque l’on parle de santé globale. On évoque des interactions, des relations de cause à effet, des effets induits… en y ajoutant une dimension économique. Donc effectivement, on ne peut pas faire cela tous seuls. Il y faut une pluralité d’acteurs.

    Ce dossier est finalement dans la continuité de votre action et de votre engagement personnel ?


    La fibre écologique guide mon parcours depuis de nombreuses années, de l’Agence du Don en Nature à mon mandat au Conseil Economique Social et Environnemental, jusqu’à mes responsabilités au sein du Groupe VYV, je plaide pour une cohérence économique, sociale et environnementale. Fin du monde et fin de mois sont imbriquées, on ne peut pas traiter l’un sans l’autre et je suis fière que notre groupe affiche ses ambitions à devenir leader en santé environnement. C’est un des éléments qui m’a motivé pour rejoindre le groupe. Ce qui me pousse, au quotidien et au-delà des beaux discours, c’est de contribuer à l’action. Je suis convaincue que pour y parvenir, il faut mobiliser une pluralité d’acteurs et organiser des alliances de projet. Avec leur position de tiers de confiance ancrés dans le territoire, les acteurs mutualistes ont un rôle majeur à jouer dans ces nouvelles formes de coopération. Le défi est immense, mais nous serions coupables de ne pas le tenter.



    * Enquête Viavoice – Groupe VYV, décembre 2022

    Santé-environnement : nouveau défi du mutualisme

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    L’Organisation mondiale de la santé emploie le terme « One Health » (une seule santé) pour évoquer cette nouvelle vision qui fait de la santé humaine, animale et environnementale, les trois piliers d’une santé globale. Cette nouvelle façon d’appréhender la santé constitue d’ores et déjà un défi et un espoir pour les acteurs mutualistes.

    Par où commencer ? Dire que nous sommes interdépendants du monde qui nous entoure ? Que nos actions ont des conséquences directes sur tous les autres organismes… et que leur plus ou moins bonne santé peut avoir sur les activités humaines des conséquences dramatiques ? Tout est vrai, tout est complexe, et nous allons devoir agir sur tous les leviers à la fois pour réussir le pari d’une vie soutenable sur le long terme.

    Quelques chiffres pour poser le débat ? 60 % des maladies infectieuses humaines ont une origine animale1, les maladies et les ravageurs causeraient jusqu’à 40 % de pertes des cultures vivrières mondiales2, les activités humaines entrainent une contamination de l’environnement par des substances toxiques et dans le même temps, la déforestation accroit le risque d’exposition des humains et des élevages à de nouveaux pathogènes… Enfin, 58 % des maladies chroniques sont aggravées par le changement climatique3. La liste n’est évidemment et malheureusement, pas exhaustive…

    Le terme « Santé-environnement » définit un nouveau champ d’actions

    Afin d’éviter la confusion avec la « santé environnementale » qui renvoie à la seule santé des écosystèmes, le concept de « santé-environnement » a été retenu parce que correspondant le mieux à cette relation d’interdépendance entre la santé animale et humaine et l’environnement.

    Parallèlement, et depuis 2022, une résolution des Nations Unies affirme que l’accès à un environnement propre, sain et durable constitue un droit humain universel. Depuis 2024, la France produit tous les 5 ans un plan national santé-environnement, tandis que l’Union Européenne fait de la neutralité carbone et d’un environnement exempt de substances toxiques, deux objectifs fondamentaux à atteindre d’ici à 2050.

    Parce que c’est bien l’activité humaine qui est à l’origine des crises environnementales que nous connaissons, c’est d’abord sur nos activités qu’il convient d’agir afin, d’abord, d’en réduire l’impact, puis d’envisager de nouvelles approches. Pollution atmosphérique, pollution de l’eau, pollution plastique, particules fines… toutes ces atteintes à l’environnement sont la conséquence directe de choix de société. Les canicules à répétition sont évidemment la conséquence directe du réchauffement de la planète, mais elles sont aussi une porte ouverte à de nombreuses allergies ainsi qu’au regain de maladies infectieuses graves (choléra, dengue, etc.) et des dizaines de substances toxiques sont présentes dans nos corps (perturbateurs endocriniens, PFAS, résidus de pesticides, métaux lourds, etc.) Nos nouvelles habitudes de vie ont par ailleurs un impact très direct sur notre santé et on pourra citer en vrac, la « malbouffe », la sédentarité, l’usage excessif des écrans, la diminution des heures de sommeil…

    L’Organisation Mondiale de la Santé estime que, chaque année, 24% des décès sur la planète, soit près de 13 millions d’individus, peuvent être attribués à des facteurs environnementaux ! 


    Quel doit être le rôle des mutuelles ?

    Le mutualisme propose, avant toute chose, une approche singulière qui en fait son originalité et sa valeur. Cette certitude que la coopération et la co-production de solutions est la méthode à la fois la plus efficace et la plus respectueuse de chacun. Hier, il préfigurait la Sécurité Sociale. Aujourd’hui, face à la montée universelle des risques systémiques, face au risque d’explosion des inégalités de santé, face enfin à l’ensemble des menaces directement ou indirectement liées au dérèglement climatique et à la perte de biodiversité, les mutuelles entendent proposer de nouvelles solutions en coopération avec les scientifiques et les médecins à destination des entreprises et des particuliers. Faire le pari de la prévention, faire le pari de la coopération.
    La lutte contre la crise écologique n’efface par les combats déjà à l’œuvre : droit à la santé pour tous, sauvegarde de l’hôpital public, marchandisation des données personnelles…

    Si la santé est globale, les réponses que les mutuelles doivent proposer devront l’être aussi et faire converger respect de l’humain et respect du vivant.

    1Chiffres OIE 
    2Chiffres FAO
    3Chiffres National Climate change été 2022 

    Le Groupe VYV agit pour ouvrir les portes de la santé

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    Le Groupe VYV (re)dévoile son film publicitaire. Au cœur du message, l’ouverture des portes de la santé grâce à l’engagement des femmes et des hommes du groupe.

    Pour une santé accessible à toutes et tous

    Une santé dont personne ne devrait être exclu quelle que soit sa situation et qui s’exprime à travers la signature de marque du groupe : « Pour une santé accessible à tous ». Raison d’agir réaffirmée et ambition clairement portée, le Groupe VYV rappelle avec ce film l’ambition commune à l’ensemble des entités qui le composent :  être le groupe de référence de la santé et de la protection sociale en France.

    Après une première vague en début d’année, la campagne publicitaire du Groupe VYV revient sur les écrans pendant trois semaines à compter du 22 juillet. Et sera diffusée sur les chaînes de télévision nationales (TF1, France TV, M6) et celles de la TNT et du CAB SAT en complément d’un dispositif digital (vidéos, bannières…).

    Cette campagne TV et digitale « Les portes de la santé » s’accompagne d’une nouvelle campagne autour du sport-santé dans la presse.

    Une approche optimiste de l’accompagnement

    Cette ambition commune s’illustre à travers la complémentarité des métiers qui concourent à la santé de chacun. Les portes qui s’ouvrent illustrent les valeurs ainsi que les métiers et les réponses concrètes apportées par le Groupe VYV, sur une note résolument optimiste.


    Un enjeu toujours plus pressant

    Si le ton du film est volontairement optimiste, c’est que nous sommes convaincus que notre action a du sens. A travers la singularité de notre approche qui met en synergie tous les leviers d’une bonne santé : assurancesoins et accompagnementlogement, nous sommes en mesure d’apporter des réponses concrètes aux attentes de nos adhérents et de la société.

    Mais nous sommes d’autant plus optimistes que les constats sociaux que nous observons appellent de toute urgence à agir. A travers cette campagne, nous évoquons bien sûr l’accès à la santé, mais plus encore, nous voulons affirmer une autre manière de faire société, ensemble, et au bénéfice de tous.

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    « Mesdames », le nouveau partenariat du Groupe VYV

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    En apportant son soutien à ce nouveau média, imaginé pour les femmes de 45 ans et plus, le Groupe VYV souhaite valoriser l’importance de la couverture prévoyance pour les femmes.

    « Mesdames » est un nouveau média, 100 % digital, créé par Alexandra Crucq et Maïtena Biraben et destiné aux femmes de 45 ans et plus. Promesse centrale de ce nouveau venu : apporter un regard positif, sincère, intelligent et collaboratif, à travers une politique éditoriale faite de témoignages, de sourires et de prise de hauteur.

    Mesdames est présent sur tous les réseaux sociaux

    Mis en ligne le 2 mai dernier, Mesdames s’articule autour de thématiques telles que le couple, la forme, le boulot, la lit, la banque… bref, tout ce qui fait le quotidien des femmes de 45 ans et plus avec cette originalité supplémentaire de ne présenter que des témoignages vidéo faisant la part belle au vécu et à l’expérience humaine et posant les contours d’une vaste communauté des femmes.


    Comment je me suis relevée

    A travers 6 témoignages de femmes ayant eu dans leur vie à faire face à des situations difficiles (longue maladie, invalidité, burn-out décès du conjoint…), le Groupe VYV entend montrer l’importance de la couverture prévoyance pour les femmes. La rubrique « Comment je me suis relevée » nous fait ainsi entendre leurs voix et nous fait entrer dans leur réalité vécue ; des témoignages aussi différents que l’origine ou le parcours de ces grands témoins mais avec le même point commun : une issue heureuse.

    Ainsi, mardi 16 juillet, Karima témoignera de la façon dont elle a vécu et fait face à un accident du travail. Le mardi suivant, c’est Annou qui qui nous dira comment elle s’est relevée de la mort de son mari. Enfin, le 30 juillet, Nadine racontera son combat victorieux contre ses deux cancers.

    A noter enfin que quatre des six femmes ayant accepté de témoigner sont issues du réseau du Groupe VYV.

    En savoir plus sur Mesdames 


    Protéger notre santé face aux risques écologiques

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    En réponse à la dégradation de l’environnement et au changement climatique qui menacent notre santé et celle de nos enfants, le Groupe VYV publie un livre blanc qui dresse un état des lieux et ébauche le cadre des actions à venir.

    72 % des Français jugent que la dégradation de l’environnement et le changement climatique leur seront préjudiciables et 88 % qu’ils le seront pour les générations futures.1

    Au-delà de l’impact sur les écosystèmes et les ressources, la crise écologique est aussi une menace majeure sur la santé publique. Evénements climatiques extrêmes, pandémies et pollutions font chaque année des millions de morts et de malades.2 Cette situation et les liens de cause à effet, pourtant largement documentés, sont encore trop peu pris en compte.

    Une situation largement sous-estimée

    Si nous devons aujourd’hui embrasser d’un même regard la santé de notre environnement, celle des animaux… et la nôtre, c’est qu’elles dépendent totalement les unes des autres et qu’on ne pourrait prétendre améliorer la santé humaine sans préserver et améliorer aussi ces deux autres composantes du vivant. Sait-on que 60 % des maladies infectieuses humaines ont une origine animale ? Que les maladies et ravageurs causeraient jusqu’à 40 % de pertes des cultures vivrières mondiales ? Avons-nous enfin pleinement conscience que l’activité humaine est très largement responsable de la plupart des dérèglements qui affectent la planète ?

    Car de même qu’on parle aujourd’hui de santé perçue comme globale, les risques sont désormais systémiques : explosion des inégalités de santé, marchandisation de la santé et des données personnelles, paupérisation de l’hôpital public et des établissements non lucratifs, non-recours aux droits sociaux, reports de soins… Autant de constats ou de menaces qui vont à l’encontre d’une lutte juste et efficace contre les nouveaux risques de santé.

    Nous devons agir ! Le XIXe siècle a vu le mouvement mutualiste préfigurer les fondements d’une protection sociale universelle. Aujourd’hui, ce même mouvement se donne pour mission de faire émerger de nouveaux cadres sociaux, économiques et institutionnels capables d’amplifier et d’accélérer une transition écologique juste et bénéfique à la santé de tous.


    Les mutuelles doivent jouer leur rôle

    Le Groupe VYV, 1e acteur mutualiste de santé entend se montrer exemplaire dans ce que nous avons à construire collectivement. Il a pour cela entamé trois chantiers dans trois directions complémentaires.

    • Faire notre part dans la réduction de l’empreinte environnementale. Cela passe en premier lieu par une réduction de notre empreinte carbone, et à cet effet nous avons réalisé un premier bilan carbone élargi couvrant l’intégralité de nos actions. Cela passe aussi par un renforcement des politiques d’achat et d’investissements responsables du groupe. Enfin, nous attachons une importance accrue à la sensibilisation et à l’accompagnement de nos adhérents et collaborateurs dans cette prise de conscience et dans les transitions que nous devrons mener.
    • Innover en faisant du logement un déterminant de santé. Parce que le logement conditionne pour beaucoup notre état de santé, nous avons développé, en relais avec le Groupe Arcade VYV, le label Mon logement santé qui intègre et croise des objectifs liés à la qualité du bâti, à la sociabilisation des occupants et d’accès aux informations santé.
    • Faire de la transition écologique un exercice démocratique.

    Sur l’inspiration des conférences citoyennes, le Groupe VYV a organisé de juillet à novembre 2023, sa première convention interne sur le thème « Santé et environnement » En tant que groupe mutualiste, la démocratie, la co-responsabilité et la co-construction sont depuis toujours au cœur de notre organisation qui associe adhérents et salariés à la prise de décision. Pour nous, la transition écologique, de par l’ampleur des bouleversements inédits qu’elle suppose, s’impose comme objet majeur d’intelligence collective.

    C’est sur la base de cet ensemble de réflexions et d’actions que nous rendons public notre livre blanc : « Protéger notre santé face aux risques écologiques : état des lieux et premiers pas ».


    Découvrez le livre blanc

     

    Découvrez la philosophie de notre convention interne

     


    1 Destin commun, 2022

    2 OMS